bienvenue sur lns, un forum city de type résidence. chaque appartement est en colocation pour faciliter la création de liens. l'action se déroule dans la ville de séoul, en corée du sud. le forum a ouvert le 27 avril 2018. 7 jours sont accordés pour terminer la fiche. deux rp demandés tous les mois, merci de faire un effort sur l'orthographe. pas de lignes minimum, lns privilégie les réponses courtes.
later ! Montre en main, incapable de détacher ses yeux de l'objet - ou de jongler entre deux. Il avait laissé un énième soupir se détacher de ses lèvres, sans se soucier du bruit fait et de ce qu'il y avait autour de lui. Il ne se préoccupait pas même des regards de sa petite amie tant son intention était sur un autre. Le même, toujours, depuis quelques mois maintenant. L'éternelle problématique en résonance. Monsieur Byun était devenu plus qu'une obsession, plus qu'un objectif à atteindre sans se soucier des conséquences du lendemain. Il valait plus que ses conquêtes nocturnes, plus que lui-même. Ou était-ce un mirage ?
Une illusion liée à une image qui ne cessait d'apparaître dans ses rêves ? Et s'il y arrivait, qu'adviendra-t-il de des envies ? Disparaîtront-elles après avoir tant vécue en lui - nourris depuis tout ce temps ? C'était des questions qui avaient raison d'être posées, pourtant Byeol ne semblait pas sans soucier autant qu'il le devait. Les conséquences de ses actions sur son mental l'importait bien peu, conscient de s'en remettre un jour. Il se donnait droit d'exister. Alors il s'y donnait à cœur joie. « Hum ... Ne m'attends pas, j'ai des trucs à faire. à plus tard. » Un rapide regard vers Yeji et il dégringolait les escaliers pour rejoindre le bureau du professeur, le sourire sournois au bout des lèvres.
Il avait gardé dans ses mains, une feuille distribuée au début du cours, le regard froncé et interrogateur - comme il en avait l'habitude maintenant. Byeol attendait son tour, en laissant en passer d'autres devant lui - être seul. Son pied en tremblait presque d'impatience. L'adolescent ne l'avait jamais été. Alors les yeux levés vers le ciel, il invoquait toutes sortes de Dieu pour passer le temps et être favorable à ses envies, mais ça n'avait jamais réellement marché. Pourtant son tour était arrivé, finalement. C'est pas trop tôt, avait-il pensé. Il avait révisé son discours, prêt à sauter sur la moindre occasion qui se présenterait à lui ; le faire craquer.
later ! subtile délice. c'est sous les regards presque discrets qu'il se pavane à travers la salle, zieutant celui qui n'a de cesse d'intriguer son âme. aux traits de poètes oubliés, éros subit la beauté d'un élève, ce dernier se dévoilant sous un aspect de pêché. sourire de malice alors que les paroles hantes les esprits d'élèves soucieux d'acquérir un diplôme qui porte l'importance d'un futur sûr. lui, maître des ces lieux, n'a de cesse d'accomplir sa tâche à la perfection, berçant ceux qui ne sont qu'attirer par ces histoires d'autrefois. lui, perfectionniste au possible, se plonge au dessus d'une épaule, détaillant le point qui perturbe la compréhension d'une jeune adulte. le sourire presque délicat, celui qui se veut rassurant apparaît alors que la tirade se termine.
loin des aspects tyranniques de ses semblables, éros n'est que celui qui ère dans cet amphithéâtre, offrant une aura des plus pures à ceux et celles qui viennent à l'aborder. enfant aujourd'hui adulte, il est celui que l'on apprécie pour sa douceur divine. puis le bonheur vient à se clôturer sous les tintements d'une sonnerie des plus insupportable. l'homme au nom d'érotisme se plonge alors dans une grimace, mécontent au possible avant de rejoindre son bureau sous un aspect d'enfant capricieux. ce même enfant qui n'a pu terminer de citer son récit lointain.
la paperasse qui s'accumule alors sur le meuble boisé, il plonge le nez sous certaines copies qu'on vient à lui glisser entre les mains. entre deux corrections, deux explications, il lève les yeux, brièvement pour apercevoir l'enfant du péché. faible rictus avant de reporter son attention sur les derniers curieux avant de finalement s'abandonner à la lourde tâche de la correction suprême. le souffle emplissant les joues, il vient à débuter son travail avant de n'être interrompu qu'après quelques secondes. chevelure corbeau et traits délicats, l'homme face au jeune adulte. eros hausse le sourcil, curieux avant de s'exprimer sans crainte aucune. « qu'il y a t-il ? » voix bercée par des airs de coton. délicate et dotée de grande finesse, comme à son habitude. « un soucis de compréhension, peut être ? » jeu dangereux qui débute. encore et toujours, mais plaisant au possible pour celui qui pourtant, ne devrait se contenter de baigner dans la pureté absolue face à ses élèves.
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Ven 24 Mai - 13:22
