almost lover - ilseong

La situation est risible. Il suffit de voir la tête d’Ilseong pour comprendre qu’elle est dans la panade. Pourtant Chaeryeong confortablement installée en plein milieu de sa table de billard, qui prend tout la place, kit de manucure étalé à ses côtés, du vernis qu’elle appose avec soin sur ses ongles de pied. Sourcil haussé en regardant le plus âgé aussi qui s’agite, la menace entre ses lèvres à elle. « Do anything I dislike honey and i ruin this beautiful table with polish nail and the remover. » Sourire en coin, elle montre la bouteille de dissolvant qui n’attend qu’un faux pas pour détruire le tapis de la table de billard. Et la tension est palpable. Tout avait commencé la veille de toute façon. Lorsqu’Ilseong avait ruiné un de ses projets d’art à rendre prochainement avec sa sauce barbecue en lui annonçant qu’il l’avait pris pour un protège table. Une toile vu comme un protège table. C’était le monde à l’envers. Et Cherry avait du passer la nuit à refaire une toile, qui n’avait sans aucun doute pas la même qualité que la première. Pas rancunière pour autant, moins qu’elle ne le fait croire, elle avait donc décidé de se préparer pour les fêtes là sur l’objet le plus précieux de son ‘époux’. Non pas qu’elle comptait renverser quoi que ce soit. Tête en l’air certes mais pas maladroite. D’une dextérité à toute épreuve. « Remember your parent arrive at six o’clock, mine at half. Do we even have enough place to celebrate here … Why did you propose ? » Fêtes de fin d’année avec les parents. S’ils avaient pu négocier Noël prétextant vouloir le passer ensemble, voilà qu’ils étaient condamnés à passer la nuit de la saint sylvestre à faire semblant de s’adorer, plus qu’à l’accoutumée, pour éviter tout drame parental. « My father will again do an interrogatory. Be ready. » Et elle continue de parler Cherry, comme si elle n’était pas en danger à faire ses ongles assise sur la précieuse table de billard d’Ilseong. Meilleurs amis, ils se connaissaient depuis l’enfance. Meilleurs amis à se chicaner encore et encore aussi. Pour des broutilles. Mais à toujours être là l’un pour l’autre.
 

Panique palpable, situation tendue autour de laquelle tu navigues inconfortablement en la regardant s’afférer à ses ongles. Dire que tu regrettes l’incident de la veille est un euphémisme maintenant que ta précieuse table de billard est mise sur la ligne mince du danger. « Listen for like the tenth time, I’m sorry. » Il y a tant de choses que tu devrais faire plutôt que de faire des longueurs devant la table, conservant une distance importante avec ta femme que tu ne dois pas brusquer car ton attachement pour l’objet est trop élevé. « Is this really necessary? Please, get off it. I’ll buy you anything. » Toute la nourriture est encore confortablement installée dans le réfrigérateur, attendant que quelqu’un daigne prendre la tâche entre ses mains. Action que tu accomplirais sans gêne si ce n’était du niveau de stress trop élevé qui t’empêche de t’éloigner de l’amour de ta vie recouvert d’un petit tapis vert. « Because, that way, we only need to go through one family gathering instead of two. » Mise en scène pour votre mariage qui n’a rien de romantique, sa consommation qui ne se fera jamais parce que c’est ta meilleure amie qui vit avec toi, qui porte une bague accidentelle à son doigt. Un bateau dans lequel vous êtes tombé sans trop comprendre, désormais obligé de jouer des rôles dont vous ne voulez pas afin de ne pas décevoir les parents aux attentes débordantes. « Your dad is way less scary than your remover. »
 

Air qu’elle sifflote, ingénue, Cherry qui s’affaire à finir de se préparer, mouvements simples mais efficaces, couches de vernis qu’elle appose, menace entre ses lèvres. Et elle ne peut que rouler des yeux face aux pardons d’Ilseong, conscient qu’il trouvera encore un moyen pour mettre sa précieuse sauce barbecue partout sur ses affaires. « And for the tenth time I don’t believe you darling. » Teinte rouge cerise qu’elle appose avec soin, elle hume à ses suppliques, pas d’humeur à céder à ses propositions sa nuit blanche comme un argument majeur à ne pas flancher malgré la proposition tentante. « You wouldn’t buy me what I want, you won’t have enough. » Cachets de ses cosplays qu’elle essaye d’économiser, de cumuler, une nouvelle machine à coudre qui lui fait de l’œil, au prix pourtant bien trop élevé. Elle pourrait demander à ses parents aussi, ne serait-ce que pour la dédommager de cette situation dans laquelle ils l’ont plongée. Mariée d’un côté, fiancée de l’autre, sans amour à la clef au final. Liée à ses amis, ses deux amis d’enfance pas comme elle l’aurait souhaité. « Like I’m happy to be in this situation … Gosh, I’m your wife and at the same time I’m Taeho’s fiancé … And your parents don’t even know please … How crazy is that ? » Rire amer qui s’échappe, elle étend ses jambes pour laisser sécher ses pieds loin du billard, pas si cruelle que ça Chaeryeong. Un soupir pourtant aux lèvres face à la dernière remarque de son époux. « My dad is scariest than anything else. Even my remover. » Et d’un geste sur elle le referme, le glisse dans sa trousse qui contient tout son nécessaire, rictus face à l’air soulagé d’Ilseong. « See ? Nothing happened. So now if you can start preparing the meal, it would be perfect. » Elle a beau avoir rangé ses affaires, elle reste assise sur l’objet précieux pour le moment, ses jambes qui battent l’air en attendant que le vernis soit sec, menaces qu’elle peut toujours réitérer au moindre faux pas d’Ilseong, souvenir de sa toile saccagée encore trop vivace en tête.
 

Jeu du chat et de la souris, les excuses sincères qui ne mènent à rien à défaut que le mal soit déjà accompli par erreur. Bêtement. Idiotie du moment, esprit momentanément trop fatigué pour réaliser les différences optiques. Faux pas banal, offense optimale. Deux visions dans la situation bien différentes en dépit de la panique refoulée sous la cage thoracique, peur vivide pour le précieux tissu de la table. Ce vert moche, pourtant si important à tes yeux. « So, you believe i voluntarily smudged bbq sauce on your artwork ? » Presque source d’une profonde indignation, insulte effleurant cette promesse d’amitié sans fin contre laquelle tu n’oserais commettre le moindre crime pour l’effriter. « I know you want a new sewing machine. » La conversation se détourne, contrairement à ton regard qui demeure fixé sur le moindre des gestes. À l’affût, prêt à réagir à la moindre menace mettant en péril ton enfant. Les parents étant, de loin, le dernier de tes soucis. « My parents would die from a heart attack if they actually knew anything about my personal life. » Tant de détails qui leur échappe, des subtilités qui suffiraient à les faire pâlir d’horreur. Gens d’une autre époque, mentalité encrée dans des idéaux strictes concernant les valeurs traditionnelles. « Your dad is not that scary, he absolutely loves me. » Un peu trop certain, préférant te complaire dans cette idée que d’accepter que le contraire puisse être possible. C’est mieux ainsi, plus aisé d’affronter le regard froid de l’homme qui surveille le moindre geste déplacé. Habillé de ta vie rangée, l’illusion berçant au quotidien les gens de passage dans l’existence qui ne se donne pas la peine de lever le nez au-delà de la jolie clôture blanche construite par confort, par besoin de tranquillité.  « Aren’t you going to help me ? » Loin des talents de masterchef, capacités de base suffisantes pour faire survivre un foyer sans que ce ne soit absolument gastronomique sur tous les points, tu espères au moins que l’activité puisse susciter une impression de ménage. Avec tes parents, tu ne sais jamais quand ils peuvent débarquer, doués pour les entrées surprises et remarquées.
 

Émotions en étincelles, le sujet de discorde ridicule en y repensant. Chaeryeong se doute bien qu’il ne l’a pas fait exprès. Elle le sait même, connaît trop bien l’homme en face d’elle pour oser douter un instant de l’existence d’une quelconque malice derrière le geste. Mais la fierté est grande, trop, pour pardonner ainsi, les heures à devoir refaire une toile pour l’université valant bien cette angoisse qu’elle laisse à Ilseong. Alors elle hausse les épaules la jolie de demoiselle. Lorsqu’il lui demande si elle y croit vraiment à sa culpabilité. Bien sûr que non mais le mal est fait. Et si elle connaît bien l’enseignant, l’inverse vaut aussi, ce qui rend le mariage plus vrai qu’il ne l’est vraiment. « Yeah, an expensive one … easily one or two months of your salary. » Et c’est pourquoi elle ne lui demande pas. Elle sait que sa passion, son métier coûte cher, et elle préfère attendre sagement que l’argent des conventions, des rencontres lui permette d’acheter cette machine que de ruiner l’homme, ou de supplier son père. « My father would kill me … Let’s be honest, it’s a mess. » La situation n’est même plus digne d’une série de seconde zone tant l’histoire est bancale. Mariée à Vegas à son meilleur ami, fiancée à son ami d’enfance, l’amour n’est nulle part dans l’équation et la réponse encore une inconnue trouble. « My father doesn’t like any men going close to me. And for him you are too close. He didn’t even pardon you for wedding me, without him being here please. » Soupir, elle secoue la tête avant de ranger son matériel de manucure, sourire presque mesquin tandis qu’elle assure que la table de billard sur laquelle elle est toujours assise va bien. « I will help you when my nails will be dry. We don’t want any catastrophy here, don’t we ? » Et ça ne prend pas longtemps. Cherry pas assez cruelle pour ne pas l’aider dans la tache. Tablier passé par dessus le tee-shirt qui appartient à Ilseong qu’elle porte dans le confort de l’appartement, elle vient s’activer avec lui dans la cuisine. « Did you buy the dessert ? Or do we have to make up with ice cream ? »
 

Elle joue avec ton cœur d’une façon qui devrait être illégale, au bord de la crise causée par un stress n’ayant rien de nécessaire. Culpabilité qui ronge, mais ne suffit pas à apaiser la divinité diabolique aux envies de vengeance. Tu voudrais avoir ce qu’il faut pour cueillir le pardon, finances ne pouvant supporter les préférences sur lesquelles ses yeux se posent. Machine hors de prix, autres nécessités à payer avant d’en arriver là. « Should have gone for a surgeon, guess I chose the wrong job to spoil my wife. » Pointe envers ton choix professionnel que tu ne regrettes pourtant pas, bien content et loin de la misère en dehors des allusions parfois faites. Vie confortable, mais pas assez pour avoir le luxe d’offrir de l’équipement hors de prix à la meilleure amie épousée par folie alcoolisée. « A mess ? You put it pretty simply. » Chaos divisé de chaque côté, partagé dans les deux vies qui ne s’entrecroisent que par le billet d’une amitié solide où l’amour n’a pas su tracer sa route. Drôle de mariage duquel il est plus difficile de se défaire qu’il n’y parait, familles qui ne sauraient comprendre la décision devant le geste, déjà suffisamment de spontanéité dans cette relation. « I could be dead your father would still blame me for everything and despise my entire existence. » Tu fais avec le jugement, n’ayant pas vraiment d’autres options qui s’offrent à toi. Sécurité de la table qui t’inquiète davantage, rassuré lorsqu’elle la quitte enfin après les mentions de nourriture à préparer. « The disaster that I am is more than enough. » Cuisine gagnée, routine qui s’installe après la tempête, rôle devant les fourneaux qui se partage avec la femme affublée d’un tablier pour couvrir l’un de tes morceaux de vêtements. « Yes I did, don’t worry. Do you really see me as such a terrible husband material ? » Sourire aux lèvres, contenu du réfrigérateur qui se vide petit à petit sur le comptoir afin d’exposer les nécessités de la soirée. « Any allergies I forgot ? » Jamais trop prudent, tu ne tiens pas à involontairement assassiner l’un de tes beaux-parents.
 

Elle joue avec son cœur mais pas comme on l’entend. Elle n’en a pas les clefs, ne compte pas les avoir. Entre eux, le seul amour qui existe c’est cette amitié immortelle. Ils ont tout vécu à deux jusqu’au mariage, au passage de l’anneau au doigts. Elle joue avec son cœur comme une amie faussement blessé. Vengeance qu’elle ne réalise pas, même si clairement la panique dans les yeux d’Ilseong vaut le coup. « Surgeon … You. Oh my god no way. The only wrong job you chose, was to marry me darling. » Rire espiègle, regards partagés, et voilà que le sujet vacille sur cette histoire dans laquelle ils sont tous bloqués. Ilseong, elle mais aussi Taeho. Chaeryeong comme le nœud du problème. Entre un père à satisfaire, un époux à sauver de l’assassinat commandité par le dit père et un fiancé dont la famille ne veut rien savoir si ce n’est annuler son mariage avec Ilseong. Elle pourrait divorcer en soi. Elle pourrait. Mais Cherry faible face à sa famille, incapable d’annoncer la vérité. Ilseong dans le même problème, le mensonge qui s’est tissé en été lorsqu’ils sont revenus de Vegas, des alliances achetés en urgence pour parfaire la comédie. « He doesn’t despise you. My father is … a bit too much I admit, but he just wants you to be the best for me. » Grimace quand à son père, homme qui l’a toujours chérit jusqu’à vouloir le meilleur pour elle. Homme dont le mariage de sa fille ne le satisfait pas, mais qui ne s’y oppose guère non plus de peur de gâcher son bonheur. Haussement d’épaule, et voilà que les deux reprennent une routine bien connue. Vie de jeunes mariés qu’ils ont appris à jouer, comédie bien faite. « You’re the worst husband. And I will think that at least for the next two months. » Son regard qui se lève sur les différents post-its colorés, mémoire défaillante la crainte d’oublier quelque chose tandis qu’elle prépare les accompagnements laissant la viande aux bons soins d’Ilseong. « Nuts for my mother, that’s it. And you parents ? Kimchi is okay right ? Traditionnal Christmas Korean meal, that what we said ? »
 

Te voyant mal dans la peau d’un autre métier, passion vibrante pour l’enseignement au point où ta vie perdrait son sens si tu devais en venir à perdre ton emploi. « You need two people to have a wedding, sweetie. » Histoire qui aurait pu être évitée, qui n’aurait pas créée de tension inutile ou des attentes irréalistes. Ce n’est qu’une question de temps avant que la pression de fonder une famille ne vous tombe au visage, que l’empressement se fasse ressentir. Du moins, de ton côté avec une mère qui attend impatiemment la venue d’un nouveau bébé dans la hiérarchie. La pauvre ne se doute pas de la véritable identité de la personne qui fait pulser ton cœur à un rythme saccadé. Tu évites les questions des parents, tu tais l’éventualité du divorce accompagnant cette fausse union réalisée sous le coup d’une impulsion alcoolisée. « He wants something weirdly impossible. I will definitely never be the best for you in bed. » Absence marquée d’attirance sexuelle dans les deux sens, élément qui permet une certaine cohésion dans l’intimité d’un couple. Tu sais reconnaitre qu’elle est jolie, Chaeryeong. Une belle femme, mais le contexte qui vous entoure t’empêche de ne voir qu’autre chose que la meilleure amie qui sait écouter quand le ciel se fait plus gris. « You know, there are people out there who would be jealous. » Petit moment pour te lancer des fleurs, sourire aux lèvres en activant les tâches pour tout préparer avant de voir les indésirables se présenter. Non pas que tu n’aimes pas ta famille et la sienne, bien au contraire, mais tu les préfères en dehors de ton appartement. « Nothing special. And yeah, that’s perfect. If anyone complains, they can walk through the front door and leave us alone. » Laissant ta femme avec ses post-its, tu prends ton côté d’opération avec pour co-pilote ta mémoire qui doit s’activer. « I can’t wait to know what’s going to be tonight’s hot topic. »

Le mariage. Ils en rient aujourd’hui alors que la panique était toute autre le lendemain avec l’acte de mariage comme témoin de leur nuit de folie. Tout qui s’était fait dans l’urgence. De l’achat des alliances à un shooting photo commandé histoire de pouvoir parfaire le mensonge de l’engagement voulu. « Two people and a very low tolerance. » Cherry qui ne tient pas l’alcool. Qui avait juste voulu s’amuser ce soir là. Qui en payait le prix avec Ilseong. « Let’s be honest, if i sleep in your bed, it’s just because you are a cuddle monster and i need to be hugged that’s all. » Léger sourire, l’attirance absente entre eux, et la complicité de cette enfance qu’ils ont partagée. Chaeryeong qui a gardé d’anciennes habitudes, celles qui rassurent. Enfant effrayée par le noir, l’appartement qui s’illumine pourtant au moindre mouvement, mais elle qui finit toujours par dormir avec Ilseong, le côté rassurant du garçon comme une évidence dans sa vie. Proximité tendre, sans qu’elle ne dérape jamais, c’est sans doute pour ça que le mensonge est si beau. Rire quand Ilseong parle de sa beauté elle ne peut même pas le nier. Il a du charme Ilseong. Beaucoup, il y a quelque chose dans ses expressions qui en font craquer plus d’un, les enfants en premier. Husband material, comme on lui souligne souvent. « Of course, my best friend has to be handsome, it was an important criteria babe. » Les deux qui s’activent pour préparer le repas, chacun sa manière, mais un tandem efficace, le calme et le bruit de la cuisine en fond sonore. Question sur le sujet du jour, et Chaeryeong elle ne peut que hausser les épaules légèrement. « A baby … For next christmas … Or maybe the fact I still didn’t quit the lingerie stuff, i’m sure my mom will ask you if you are okay with the fact I do modelism in underwear … They want me to quit so … Any idea in your side? »
 

Esquisse d’une soirée qui s’étire jusqu’au présent dans un rappel de la bêtise humaine. Doigt décoré par principe de faire croire la véracité de l’histoire qui aurait dû être tenue sous silence pour parvenir à l’effacer plus simplement, mais que serait la vie sans un petit challenge qui risque de te coûter ta carrière entière et ton petit bonheur ? « The chicken wings made my body perfect for cuddles, I know. » Pointe envers toi-même et tes habitudes alimentaires, il y a une légère tape qui s’octroie à ton ventre qui peut encore se venter d’avoir un mécanisme rapide. En théorie, vous partagez bel et bien le même lit à la manière de véritables mariés, mais la nuance réside dans le geste basé sur l’amitié qui perdure depuis trop longtemps pour se désamorcer de cet encrage. Pour un œil extérieur, vous formez un joli couple qui s’agence dans une harmonie agréable, les hauts plus forts que les bas qui se comptent presque sur les doigts d’une main. Flatterie mise de côté pour plutôt verser l’intrigue sur ce que les parents se feront plus pesants au cours de la soirée, ton vote se pose rapidement. « Obviously, they’re going to complain about the lack of pregnancy. My mom can’t wait to officially be a grandma. » Ce qu’elle est déjà, en théorie. En pratique, le fait que ton frère soit banni de la famille fait en sorte que l’enfant qu’il a eu est également considéré comme un étranger. « Plus, looking like a whale would prevent you from doing lingerie stuff. » Amusé, tu doutes que ce soit même une éventualité qui puisse un jour se produire vu la taille de guêpe de ton amie. Partie de plaisir brusquée, la sonnerie de la porte se fait entendre et le sourire quitte ton visage. « Talking about Satan. I’ll go get the door. » Couteau entre les doigts déposé sur la surface de travail, tu sais déjà que la soirée sera longue.