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 là où les lumières se perdent

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là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mar 6 Nov - 19:01
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ishan azaël
carte d'identité
nom, prénom, surnom
ça me dit quelque chose. je l'ai déjà entendu quelque part. peut être est-ce la radio, ou bien le bouche à oreille, mais il résonne, ou du moins - résonnait - pendant des années. ⌊ ishan ⌉ une lignée difficilement oubliable, entre le pop ancien chirurgien de renom décédé à l'ombre de son procès, et le fils dans l'ombre de ses pas. ⌊ azaël ⌉ un oublié se la coulant douce loin de tout ça, là où son nom ne percute que quelques curieux, s'informant constamment sur le monde. auxquels azaël ne répondra de toute façon que le nom n'est qu'une coïncidence, nous n'avons pas de liens de parenté.
date de naissance, âge
un compteur qui se perd, pour le moment stoppé aux ⌊ 25 ⌉ qui n'a jamais réellement compté de base. c'est qu'une excuse pour constater que la vie passe, que toi aussi t'es mortel. ça sert qu'à ça. ça n'existait pas les joyeux anniversaires, les cadeaux, ou même les fêtes avec pop. si bien que cette date ne signifie plus grand chose. on y paye même plus attention. c'est juste là pour les papiers.  ⌊ 11.01.93
lieu de naissance, origines
israël, métissé ⌉ d’héréditaire, chez lui, y a l'indifférence, la science et la connerie – c’est ainsi qu’on repère un ishan, au nombre de neurones grillées, à son sang sur les mains. une baise bâclée, un marmot, on fout leur vie en l'air, on prend les mêmes et on recommence. c’est pas à son grand-père laconique qu’il allait tirer les vers du nez en plus – il lui a toujours répété, qu’est-ce t’en as foutre d’où tu viens, le plus important, c’est où tu vas gamin, si tu regardes trop en arrière, tu verras juste qui t’encules. il avait pas si tord. ça a bien l'air d'être de famille ça, d'avoir un gros problème à la caboche.
statut civil, orientation
fiancé, biils ont l'air beau ensemble, ça fait rêver, on voudrait vivre la même chose pour son propre couple. les jaloux, y en a à la pèle. après tout elle est charmante, douce, se porte bien ; une fille typique de bonne famille, destinée à cette vie là : le foyer, un jour les gosses, le mari. ce dernier à la même image, parfait époux attentionné, travailleur, ambitieux ; il ramène un bon salaire, pas vilain non plus. l'idéal portrait trompeur pour dissimuler toute la corruption loin des regards curieux.
métier, études, occupation
c'est dans les gènes, un art au même titre que le sculpteur maniant les formes et la matière, ou le compositeur à l'aide se ses poésies. eux, ils maîtrisent la chair, les fils et l’aiguille. ⌊ chirurgien ⌉ de renom, azaël est autant capable d'ouvrir un corps, que lui refaire le visage. exemples aux degrés à déterminer.
statut monétaire, classe sociale
aisé ⌉ y a toujours eu de l'or dans la famille. une bande de dégénérés aux talents inestimables. de quoi foutre les boules. or c'étaient tous des radins, des rapaces. le partage ça a jamais été une notion primaire. tout le fric, il doit venir de ta poche, c'est comme ça. un dicton de famille inébranlable. la majorité ignorent cependant qu'un petit pourcentage lui a été légué suite au décès de pop. non pas par amour, il faut simplement que ça aille quelque part.
tocs, manies, hobbies
un perfectionnisme raffiné, des vêtements constamment repassés, un bureau ordonné au moindre objet ; on dénote une certaine obsession avec l'ordre et la propreté. + un sentiment de frustration ou de colère se traduit bien souvent par un claquement de langue que les autres percevront plus naïvement comme une minime perturbation. pourtant en arriver à frustrer à ce point azaël est rarement de l'ordre du minime. + désinfectant constamment en sa possession, il ne supporte pas d'avoir les mains sales, l’amenant à se les nettoyer régulièrement ainsi que les objets étrangers croisant sa route.
style, tatouages, piercings
rien de bien captivant. de simples oreilles percées, un accoutrement constituant la majorité du temps d'une blouse blanche d'un jean ou d'un costume événementiel. son quotidien se limite du plus basique, des vêtements passe partout qu'on peut mélanger sans y porter la moindre importance.
phobie, secret, rêve
son existence même est un secret, il est constitué de ça, de mensonges à longueur de journée. azaël en est maître cependant. un seul le dépasse, et se manifeste encore sous forme de rêves, celui d'avoir eu peur. puis le néant. le rien. la seule émotion semblant susciter quelque chose d'alarmant.
is that a knife in your pocket or are you just happy to see me? OH SHIT ITS REALLY A KNIFE, psycho path, the ubermensch, ethically questionable, memories destroy us, not totally useless: can be used as a bad example, bath of blood, anger makes you stupid and stupid gets you killed, ghost boy, life kills, malboros, my demons they know me, ask no questions get no lies, a pretty face doesnt mean a pretty heart


yeah, i had all kinds of tragic reasons for feeling sorry for myself. being fifteen didn't help. sometimes i thought that being fifteen was the worst tragedy of all.


(moodboard)
✞ ✞ ✞

(aconite) une croix, faite de rouge. une mine, ruinant leur petite gueule à travers le papier. une risée à l’apostrophe d’un rire alarmant. un naturel mépris, pour eux. pour lui – non - pour ce qui le constitue. une aversion pour ces petits os faibles, cette fragilité intouchable ; ironie à l’arôme amère, peste toute puissante dans son talent de détruire, décimer. le genre humain. rien de plus qu’une piètre pièce d’un art plus grand. si ce n’est une tache. un intrus parmi les beaux. une maladie auto-immune en elle-même. y aura toujours ce jugement, cette répugnance, envers ces êtres, ces microbes à l’allure prétentieuse, malgré les sourires, les artifices. une illusion dans laquelle azaël se fond. lui, pourtant pas plus différent des autres.

lui, identique aux autres.
probablement juste lui, se vengeant des autres.
surement de lui-même.

(marigold)  carcasse constituée de concepts, d’hypothèses. des si et des admettons. une humanité sujette à une étude approfondie – le corps imposteur. si la douleur est censée faire mal, pourquoi ne jamais la ressentir ? qu’est-ce que ça fait de regretter ? est-ce que ça fait mal aussi ? est-ce un ressenti totalement différent ? des ressentis comptés sur les dix doigts de la main, limités au plus petit nombre. Des répétitions. une quête à toujours satisfaire les meilleurs d’entre eux.

le premier doigt. la fierté.
le deuxième. le plaisir.
puis le troisième.
le quatrième.

et une quête à éviter le dixième.
comment le vide peut-il être une émotion, lorsqu’il n’est fait de rien ?
et surtout - pourquoi est-il si déstabilisant.

(love lies bleeding) le repenti. la sagesse. la seconde chance. la grâce. ce n’est pas réservé à toutes les âmes. il y est des monstres auxquels même le diable ne veut rien avoir affaire. des cas perdus pour qui on ne peut plus rien faire. leurs cadavres ayant sombré au fond des abysses, consumés par quelque chose de plus grand, d’un pouvoir infini : la folie. azaël est l’un des leurs. une menace fatidique qui rode dans l’ombre d’une banalité terrienne. tenter de sauver autrui, le remettre dans le droit chemin, une impulsion incroyablement humaine ; qui toutefois dans cette situation pourrait évoluer en une stratégie mortelle. un jeu auquel il faut bien se préparer avant de penser le commencer.

(lobelia) poigne sévère, bagou tranchant – impitoyable – l’hésitation inexistante, cruauté sincère dans la manière dont elle opère : avec l’intention de faire mal, de laisser des traces. hanter. lire la panique, la peur, c’est ça, le gain. une once de pitié qu’ils réclament, imaginant qu’il y a encore un peu de compassion - d’humanité, là-dedans. sans se douter que les lamentes ne font qu’assaisonner à la perfection le plat de résistance. ça ne sert à rien de lutter, les dés sont déjà jetés.

son petit jeu - parfaitement perfectionné. une torture psychologique balancée entre une attitude séraphique et un revers funeste.
une jolie face ne veut incontestablement pas dire un joli cœur.

(narcissus) apollon qui n’existe que dans le reflet du miroir. des beaux yeux qui ne battent que pour lui. un paon à l’ego maître, surdimensionné, désir viscéral de accroître jusqu’à faire du monde son domaine. vision réduite à ce qui ne peut qu’apporter, matériellement, émotionnellement. tout est bon à collectionner - les compliments, admirations, les amis aussi. surtout les dommages collatéraux. tout ce qui permet d’écraser. d’être supérieur. un surhumain. pourquoi pas même un dieu. suprêmement validé par ses pensées. par-delà les règles.

l’humanité même.

(devil’s snare) dissimulé dans la pénombre, protégé derrière ses petits gants, ce sourire d’or, cette bonté inhumaine. monsieur amant, monsieur voisin, monsieur ami, monsieur serviable,  monsieur sauveur, monsieur mari. monsieur tout le monde dans ses bottes de sept lieux. une usurpation constituée de mensonges tous plus surfaits les uns que les autres ; et tous aussi convainquant que l’autre. on ne suspecterait cette bienveillance gratuite, ces élans généreux, encore moins cette personne humble, qui ne semble jamais se mettre en avant et qui pourtant le mérite. on l’aime azaël. c’est une bonne personne. il est exemplaire.

il a une femme, un foyer. des amis qui peuvent compter sur lui. un boulot honorable et incroyablement humain. un bon fond. une serviabilité en or.

azaël ? il ne ferait pas de mal à une mouche.



(i.) — personne ne se doute de son attitude de maniaque qu'a un plomb qu'a pété quelque part dans un coin de sa tête, pas au premier abord du moins. pas quand azaël se tient bien droit dans ses costumes impeccables, sa fiancée au bras, un verre de champagne dans l'autre, à aveugler les demoiselles par-ci par-là avec ses sourires sortis tout droit d'une publicité dentaire. si on se concentre suffisamment cependant, on peut apercevoir la façon dont ses doigts creusent les hanches de sa dulcinée, la grimace forcée de cette dernière. ce ne sont que des détails auxquels personne ne porte attention, malheureusement. qui donc serait suspicieux pour douter de la bonne nature du preux, cet honorable chirurgien apparu de nul part pour sauver tant de vies ? personne. pas lorsqu'il offre des sommes vertigineuses pour des associations pour enfants orphelins et autres causes humanitaires. sa fiancée s'agite à ses côtés ; pour les invités compatissants, elle semble concernée. pour les plus intimes, elle ne croit pas un mot du pipeau que son futur époux raconte. si l'on prêtait attention à ses moindres faits et gestes, on pourrait le voir glisser quelques mots à l'oreille de sa fiancée, la mâchoire tendue et les doigts serrés autour de sa coupe, comme s'il est énervé. on pourrait également voir l'étincelle de peur qui agite un bref instant les prunelles de sa douce, avant que cette dernière ne craque un sourire tremblant en le repoussant légèrement de son épaule, les invités rassemblés riant de leur comportement qu'ils décriraient tous d'amoureux transis. pauvre d'elle, diraient-ils s'ils savaient ce qu'il se tramait vraiment sous cette façade de couple engagé et heureux. parce qu'une fois les rideaux tombés, les invités partis et les verres vides, le véritable azaël apparaît. il enfile une blouse blanche dissimulée au préalable, ses doigts fouillent la poche pour en sortir un scalpel usé, qu'il fait glisser entre chacun de ses doigts avec expertise. sa fiancée ressemble à une statue de marbre sur le canapé, figée comme si le scalpel se trouvait juste contre sa gorge, sous sa pomme d'adam qui descend et monte en rythme avec chacune de ses respirations. lui, ça l'amuse, un sourire qui étire ses lèvres de chat vers le haut. il peut la sentir d'où il se trouve, cette peur qui coule des pores de sa peau. il y a un avertissement dans ses yeux, et elle sait que c'est du à sa conduite de ce soir. elle est véritablement piégée dans ce cauchemar, et le réaliser est toujours la partie la plus dure à supporter à la fin de la journée. aussi, lorsqu'il part, elle reste pétrifiée sur le canapé pendant plusieurs heures, comme si la menace plane encore sur sa tête, comme s'il allait resurgir de la porte d'entrée en criant surprise et l'égorger sur le champ. l’homme n'a pas que ça à faire cependant, il sait qu'elle se tiendra à carreaux, comme à chaque fois qu'il lui rappelle ce qu'elle pourrait perdre dans cette histoire si elle essayait de s'enfuir ou encore mieux, de faire la victime et de demander de l'aide. la seule fois où c'est arrivé, c'était à leurs débuts, et elle avait rapidement compris lorsque l'homme à qui elle avait raconté ses petits secrets s'était retrouvé dans une morgue le lendemain, dû à un accident des plus étranges et inexpliqués. tout se déroule toujours comme prévu, rien ne va jamais à son encontre. lorsqu'il rejoint son appartement, la cave est déjà ouverte, les néons clignotent de manière peu accueillante. pourtant, c'est avec plaisir qu'il inhale l'odeur de désinfectant dans la pièce, prenant soin de refermer la lourde porte derrière lui. des pieds dépassent de la table d'opération au milieu de la pièce, son livreur attend avec un air sterne de l'autre côté. lorsque la journée se termine, azaël a encore du travail sur les mains. (ii.) — ses lippes portent toujours cette arme au bec, un anesthésiant cylindrique qui fume au rythme du temps qui découle de ses pauses multiples durant lesquelles le blond ne fait absolument rien. Une cigarette, ça se déguste tel un vin. on y concentre toute son attention pour un meilleur goût, sans quoi il n’a plus grand intérêt. (iii.) — multiples domiciles le voit déambuler de manière inconsistante, toutes avec le but bien précis de tromper, propager cette illusion d’être le parfait voisin trop occuper par les voyages d’affaires et ses heures à la clinique pour embêter qui que ce soit. certains ont la chance de le voir participer à des fêtes de quartier, voire même de cohabiter avec. une stratégie différente cherchant tout simplement à faire valoir son bon côté, tisser des liens qui pourraient se trouver utiles. (iv.) — il aime les films d’horreur. les nanars comme les chefs-d’œuvre, il discrimine pas, tout lui plaît : du gore gratuit au huis-clos psychologique où finalement il se passe rien, en passant par l’expérimental plus ou moins foireux et les remakes à deux balles. ça lui arrive de regarder des trucs franchement dégueulasses et de s’empiffrer de popcorn sans tressaillir un seul instant (il se marre, pointe du doigt les effets techniques, commente à voix haute), c’est pas grave si le scénario est bon à jeter aux chiottes ou si le réalisateur devrait subir une évaluation psychiatrique, ça l’amuse. cette fascination lui vient de la télé : souvent, pop s’absentait jusqu’à tard dans la nuit, il lui laissait de quoi manger dans la cuisine et grognait, t’abrutis pas devant les écrans. il l’écoutait pas, bien sûr. son plateau repas sur les genoux, il zappait et zappait, puis s’endormait – sauf qu’un soir, y avait un film d’horreur sur une chaîne obscure, le troisième volet de la franchise « red moon », et il a adoré, même s’il a pas pu éteindre la lumière après coup.  (v.) — il devait avoir dix ou onze ans quand pop lui a donné le choix entre un flingue et un couteau. les regarde pas avec des yeux de merlan frit putain, t’as l’air con. l’espace d’un instant, il a cru être dans un jeu vidéo, face au menu où on choisit les armes de son personnage. la crosse était lourde et froide ; la lame aiguisée et brillante. faut savoir se défendre, quel que soit le monde où on est, telle était la philosophie de pop – dans un sens, il avait pas tort, ils n’avaient jamais vécu dans des coins gentillets, et il tressautait à peine si une fusillade éclatait en bas de chez eux ou si une balle traversait une vitre de l'appart ; c’était terrible d’être indifférent à la violence environnante tant elle était ancrée dans son quotidien. il a finalement choisi le couteau, sans autre raison que le manche était plus facile à manier et plus facile à dissimuler. pop l’a forcé à s’entraîner, c’est comme jouer aux fléchettes, il répétait, sauf que c’était des conneries bien sûr – cela étant, maintenant, son enseignement a apporté ses fruits. (vi.) — il est très possible qu'azaël n’ait pas versé la moindre larme depuis ses cinq ou six ans. ça met du plomb dans la tête de se faire élever par pop. (vii.) — un jour, c'est passé du simple couteau et de cette excuse de défense à un scalpel, à une table disposée sous les néons. pop, c'était un personnage complexe ; un tyran au langage vulgaire, aux instructions impitoyables. pourtant, y avait toujours cette petite manifestation d'humanité qui émergeait d'une manière étrange. visible sans pour autant être une évidence. souvent, ça c'était comment il l'exprimait. le corps déposé contre la table glacée, à cœur ouvert, les tripes ici et là, l'odeur nauséabonde, insupportable. (une drôle manière d'exprimer son humanité - en en dérobant une autre.) pop, il aimait partager son savoir. il voulait le lui transmettre. t'as beau rien avoir là dedans, t'as intérêt d'ouvrir les yeux et de regarder jusqu'à la fin comment je fais. et azaël n'a jamais détourné le regard.

✞ ✞ ✞

| couleur préférée: le rouge. un signe du zodiac: le capricorne. une saison: l’automne, de ses pavés asséchés, ses carcasses craquelant sous le talon. anime les peurs, défile les monstres de cœur et de couleur. une planète: pluton, berçant les peurs, chantant les tambours d'outres tombes, propageant doutes abyssaux jusqu'à perdition ou résurrection. une émotion: l'apathie, la belle ironie. animal totem: le serpent, charisme inquiétant, regard impénétrable et mystérieux, grand voyageur de l'entre deux: destruction et construction, vie et mort. un mot: destiné, l'inévitable. un vêtement: un scalpel. un verbe: décimer. une heure de la journée: les douze coup prévoyant l'heure fatidique du crime. un défaut: inhumain. un des 7 péchés: l’orgueil. une erreur de jeunesse: exister. une senteur: cendres d’opopanax. |

indépendant
apathique
composé
manipulateur
détaché
impassible

contrat de logement
envie de vivre en location: oui. à l'olympus complex depuis: deux ans. level de sociabilité: 75%. quel type de voisin êtes-vous: le type un peu trop sympa et serviable, tant social que respectueux de l'intimité de chacun, organisé, propre et assez souvent de passage. êtes-vous riche ou dans la normale: aisé. vous engagez-vous à respecter les règles de l'o.c: en théorie.  
asteres | feat. kim sekjin
edgylord666, le retour du mess
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mar 6 Nov - 19:01
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c'est le retour de la connexion sacrée on est content

ultraviolent [antagonizer]
☾☾☾ playlist
o1. i wanna play god for a little
o2. put you on a pedestal and sat you on a throne
o3. you’re the fear inside my gut
o4. i wanna cut you up and look inside
o5. i fuck with myself more than anybody else
o6. kamikazee, i am so guilty


☾☾☾ intro. despicable
(les gens ne savent pas qui vous êtes, pouvez-vous nous dire en une phrase qui vous êtes ?)

personne.
je ne suis personne.
je suis un gueux, un clochard, un vagabond. je suis un riche, un privilégié, un élite. je suis un wagon et à la fois un pichet de vin. et je peux aussi être une lame de rasoir si jamais vous vous approchez trop près.

tw// blood, murder, violence, disturbing themes
poursuivre avec précautions

☾☾☾ o1. bad moon rising

"t'es bizarre quand même" ses lèvres susurrent, inquiétudes dissipées dans le blizzard hivernal emportant tout sur son passage. y a de la place pour tous les monstres dans ce tourbillon blanchâtre, les microbes, les sans-cœurs, les larmes, même les propos qui peuvent vous coûter la vie. tous appartiennent instantanément au passé.
le vent, il a pas le temps de trier.  
"en quoi je suis bizarre"
"t'as pas bronché... t'as pas eu peur ?"

la peur.
azaël il la connait.
réside dans les bouches de tous les hommes. comme s'ils ne pouvaient se passer d'elle.
leur obsession ELLE est bizarre.
"j'ai rarement peur, sian, je te l'ai déjà dit"
un mensonge qu'il s'abstient de dévoiler. comment peut-on avoir peur, quand on ne sait même ce que ça signifie. une définition vague ne couvre qu'une couche superficielle, jamais suffisante pour en saisir toute la proportion.

y en a, on dirait qu'ils embrassent la peur de tout leur être. c'est ce que sian lui a dit un jour. il n'a bien évidemment pas précisé qu'il parlait de lui-même, des démons qui résident dans sa propre maison, de ceux qui torturent ses cauchemars et s'avèrent être réels au réveil.
ça azaël peut comprendre.
cette envie d'embrasser certaines émotions de tout son être. mais pas la peur. il pourrait probablement l'aider, sian. s'introduire chez lui, mettre fin à ses horreurs - au prix de nouveaux cauchemars d'une toute autre nature.
mais qu'est-ce que ça apporterait.
j'fais pas dans la charité à cque je sache.




"comment ça se fait, que tu aies pas peur?"
des questions, toujours des questions. les mêmes. à répétition. à croire que c'est si compliqué, de pas se faire écraser par le premier venu. de pas être une mauviette. ça le dépasse, ça l'énerve. mais azaël ne s'énerve pas.
l'énervement, quelle perte de temps.
alors y a ce sourire à la place, biscornu, qui sait pas encore vraiment comment bien se tenir. c'est c'que pop lui répète souvent. fake it 'til you make it. pas sûr que le conseil tienne dans une situation pareille, au pire il s'en fiche, le gosse il a un peu de mal, à faire la part des choses. mais probablement que pop serait content. au moins ça rentre.
"je sais pas, c'est comme ça"
y a jamais eu le temps d'avoir peur. chez eux cette notion n'existe pas. la vue du sang, les armes, les gros bras menaçants, les risques de bleus et fractures - rien qu'il n'a pas connu en vivant avec pop et l'autre conne. c'est la routine - comme pétrir le pain, chasser les cafards du trou miteux, dormir au son des bagarres et coups de feu au bout de la rue.

mais ça bien sûr sian il connait pas. parce que sian, il habite les beaux quartiers bien fréquentés.

"ça reste bizarre"
et toi tu restes le microbe de la chaîne alimentaire.

y a cette indifférence sur ses traits, ce dégoût au fond de ses tripes, et azaël a envie de s'amuser.
"tu veux savoir de quoi j'aurais probablement peur? de finir comme toi"
et ils rigolent, bêtement. ça sonne comme de l'humour. parce que l'humour passe partout - sauf si c'est trop noir, évite ça gamin - alors il le laisse croire que c'en est. si ça peut l'aider à dormir.




ça pourrait pourtant surprendre, mais sian c'est son meilleur ami. le gosse il est pas trop sûr de cque ça veut vraiment dire mais c'est comme ça qu'il l'appelle.
c'est l'idée que tout le monde semble se faire d'eux.
proches, généreux, amicaux, avec beaucoup d'amour à partager.
tout ce qu'azaël n'est pas.
sian, il mérite probablement mieux. il a rien demandé, mais il s'est foutu dans sa merde quand même. et ça se paye.
probablement qu'il serait pas resté s'il savait. c'est pas le gosse qui le lui reprocherait, après tout c'est pas pour les faibles cœurs tout ça. tout ce sang sur les mains, ces pics de méchanceté qui passent pour de la simple taquinerie.

pourtant sian il est resté. on se demande pourquoi.
peut être par loyauté, ou simple bêtise - après tout, sian c'est franchement pas le plus brillant. c'est pas faute de lui avoir répété, que ça se terminerait ainsi.
mais il est comme ça le marmot, il écoute rien, il fait le brave.
ils grandissent, ils sont plus si petits, et c'est compliqué de tout lui cacher. à vrai dire, azaël semble pas vraiment comprendre, déjà impétueux et définitivement trop sûr de lui. c'est du travail malpropre - ça a l'air de lui plaire. même pop pour une fois il ressort par l'autre oreille. c'est dangereux, ça pourrait tout ruiner.

et c'est aussi ce qui s'est passé.




are monsters born or created


☾☾☾ o2. don juan aux enfers

y a des photos partout, de corps, d'individus disparus au court des trente dernières années. y a sa face dans les journaux, à la télévision, dans les échos des radios. sian, il n'était pas supposé être sur la liste.

il y a des dommages collatéraux à chaque tragédie et des pions qu'on sacrifie pour avancer sur l’échiquier.

des particules insignifiantes sont peut être dissipées, mais surtout, aujourd'hui le roi est tombé.

chirurgien de renom condamné à perpétuité pour le meurtre de quarante portés disparus du quartier pauvre de jérusalem.

et lui, c'est plus qu'un vaurien à qui on à dit de prendre la fuite comme s'il avait jamais existé. de toute façon t'auras toujours ta grognasse de mère là bas.




le scalpel entre les doigts, la lame danse macabrement le long de l'étendu de la gorge sous sa magie. la pauvre tremble comme une feuille, les pleurs tues par une paume blanchâtre sévère.
inconsolable.
elle embrassait cet air de tout son corps.
le désespoir à l'apostrophe de ses lippes, comme si le supplier allait changer quoi que ce soit, cet espoir amusant luisant quand même dans ses pupilles.
azaël les trouve tous toujours aussi surprenant.

pourquoi s'accrochent-ils tous à ces illusions face à l'évidence?
oui, ce n'est qu'amusant.

un fil rougeâtre déferle de la lame, assez pour surprendre, loin d'être suffisant pour achever. pourtant elle hurle la pauvre. et il a pitié azaël, retire sa main pour la laisser s'exprimer, vocaliser ses lamentes pitoyables. ils sont tous drôles, mais tous aussi équitablement ennuyants.

pourquoi vous faites ça, j'ai une famille, je peux vous payer, c'est inhumain, vous êtes un monstre. rien qu'il n'a jamais entendu au fil des années.

pourtant, elle elle est intéressante.
le corps calme comme à la plus douce des détentes, comme si la réalité l'avait enfin frappée. son regard est différent, il l'étudie. comme il le fait lui.
tellement intéressante.
y a un sourire qui se dessine sur ses lèvres, ses reniflements incessants - dans l'incapacité d'agir d'une quelconque manière pour éviter à la morve de couler de la même manière que son propre sang quelques centimètres plus bas.

"on a du vous en poser bien souvent, des questions. des questions stupides que j'aurais probablement posé, en toute honnêteté. mais je me doutais, qu'avec des hommes comme vous, c'est pas la faiblesse qui vous attendrirai - on lui a jamais fait ce coup là - et la surprise est surprenamment difficile à contenir, lorsque la douce écarte ses jambes avec certitude. des regards pareils, ils dupent rarement. c'est loin d'être de la comédie. c'est réel. habituellement, son temps serait beaucoup trop précieux pour être perdu de cette manière, pourtant, le chirurgien le lui accorde - s'approche pour étudier son art, le sourire cousu à ses lippes. - mais ça, ça marche non ? c'est la faiblesse de tous les hommes." y a sa jambe qui remonte sa cuisse avec toute la grâce du monde, jusqu'à presser son entrejambe, tissus rougeâtre remonté dévoilant le fruit caché. ce n'est pas difficile de tirer conclusion de ses propos. le sexe, y a que ça qui vous achète. et il gémit, azaël, imite ses gestes contre sa cuisse à elle, le regard perdu dans l'océan de ses orbes. y a ses doigts occupés qui viennent reposer contre sa joue, le souffle court contre ses lèvres - et puis y a la lame. plongée dans son cou, alors qu'il lui dérobe son dernier souffle, le sang déversé à flots.

"très audacieux de votre part d'assumer que je suis un homme"
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mar 6 Nov - 19:03
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là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723 là où les lumières se perdent 1846878723
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mar 6 Nov - 19:04
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dfghjklm
jtm là où les lumières se perdent 850885422

bcp
là où les lumières se perdent 3771628489

genre tu le sais
mais je rappelle là où les lumières se perdent 3837314059
là où les lumières se perdent 3175958430 là où les lumières se perdent 3175958430
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mar 6 Nov - 20:52
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là où les lumières se perdent 207308959 là où les lumières se perdent 207308959 là où les lumières se perdent 207308959 là où les lumières se perdent 207308959 là où les lumières se perdent 207308959 là où les lumières se perdent 207308959 là où les lumières se perdent 207308959
Ahn Siyang
Ahn Siyang

là où les lumières se perdent 32b9eeb7efe517f5b4d16e5c425dc3d7

solsken, clem pls

kwon hyuk (god) + hoodwink

.

— emménagement le :
21/04/2018
— courriers :
490
— autres comptes :
shim eojin + imai nami + na hansol + myung jun + sato eren
— âge :
vingt-trois années qu'il se traîne, fils qu'on aurait voulu parfait mais il n'en est rien.
— occupation :
faussement étudiant, siyang qui préfère jouer, dépenser son argent, faire la fête sans s'arrêter.
— côté cœur :
le cœur qu'il aurait voulu effacer, vil organe hanté par un visage, un nom.
— résidence :
athéna, luxe impossible à ignorer. siyang qui a toujours fait partie de ce monde.
— logement n° :
A103, premier étage avec minji et minah
https://last-night-story.forumactif.com/t48-trente-centimetres https://last-night-story.forumactif.com/t93-ahn-siyang-ultraviolence https://last-night-story.forumactif.com/t92-ahn-siyang https://last-night-story.forumactif.com/t169-053-8643-ahn-siyang https://last-night-story.forumactif.com/t202-wild_sy
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solsken, clem pls
kwon hyuk (god) + hoodwink
.

— emménagement le : 21/04/2018
— courriers : 490
— autres comptes : shim eojin + imai nami + na hansol + myung jun + sato eren
— âge : vingt-trois années qu'il se traîne, fils qu'on aurait voulu parfait mais il n'en est rien.
— occupation : faussement étudiant, siyang qui préfère jouer, dépenser son argent, faire la fête sans s'arrêter.
— côté cœur : le cœur qu'il aurait voulu effacer, vil organe hanté par un visage, un nom.
— résidence : athéna, luxe impossible à ignorer. siyang qui a toujours fait partie de ce monde.
— logement n° : A103, premier étage avec minji et minah
out my mind, he is mine
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mer 7 Nov - 8:01
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WAAH TON ECRITURE
ET L'AESTHETISM
ET JIN ?????
je suis outrée là où les lumières se perdent 207308959

(re)bienvenue là où les lumières se perdent 3175958430 là où les lumières se perdent 3175958430
Jang Hea
Jang Hea

là où les lumières se perdent 9402bd622d6a9e355aa16b6c5f2db30acc5827e8

urmom

kh


là où les lumières se perdent 08983cc3667cceeb770b3a8b723de11f&là où les lumières se perdent IRqgRbo

— emménagement le :
14/04/2018
— courriers :
1845
— autres comptes :
hylan and huan sweeties
— âge :
twenty-three, a riddle.
— occupation :
héritière, échec ambulant, instagram shitposter et femme au foyer.
— côté cœur :
l'anneau sacré au doigt. le cœur tourmenté par les dérives d'une brune.
— résidence :
quartz
— logement n° :
villa q002
https://last-night-story.forumactif.com/t20-jang-hea-wasted-times https://last-night-story.forumactif.com/t98-jang-hea-s-e-e-s-a-w https://last-night-story.forumactif.com/t96-jang-hea#9690 https://last-night-story.forumactif.com/t100-heaj
là où les lumières se perdent 9402bd622d6a9e355aa16b6c5f2db30acc5827e8
urmom
kh

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— emménagement le : 14/04/2018
— courriers : 1845
— autres comptes : hylan and huan sweeties
— âge : twenty-three, a riddle.
— occupation : héritière, échec ambulant, instagram shitposter et femme au foyer.
— côté cœur : l'anneau sacré au doigt. le cœur tourmenté par les dérives d'une brune.
— résidence : quartz
— logement n° : villa q002
sailor moon
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mer 7 Nov - 13:15
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rebienvenue là où les lumières se perdent 2080089017 là où les lumières se perdent 2080089017
Nam Jeno
Nam Jeno

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radio waves

jung jaewon © myself.

là où les lumières se perdent Tumblr_plnr04q71o1sk2kqwo2_400

FALSE SYMPHONY

— emménagement le :
11/04/2018
— courriers :
1923
— autres comptes :
siwan le fou. [☆] vinh le mécano.
— âge :
vingt-quatre années à faire l'enculé.
— occupation :
héritier de la famille nam en faisant un coup de pute à son frère, model, instagramer.
— côté cœur :
l'autopsie de son cœur révèle un poster de la tête de hua.
— résidence :
la meilleure résidence aka la résidence quartz, jeno il a pas votre temps.
— logement n° :
villa wisteria, numéro q003.
https://last-night-story.forumactif.com/t19-gimme-more https://last-night-story.forumactif.com/t121-nam-jeno-into-the-night-you-ll-fall#844 https://last-night-story.forumactif.com/t122-nam-jeno#854 https://last-night-story.forumactif.com/t123-053-4291-nam-jeno https://last-night-story.forumactif.com/t124-justjeno#864
là où les lumières se perdent Tumblr_pk8wnlilCq1tl9dd7o6_400
radio waves
jung jaewon © myself.
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FALSE SYMPHONY

— emménagement le : 11/04/2018
— courriers : 1923
— autres comptes : siwan le fou. [☆] vinh le mécano.
— âge : vingt-quatre années à faire l'enculé.
— occupation : héritier de la famille nam en faisant un coup de pute à son frère, model, instagramer.
— côté cœur : l'autopsie de son cœur révèle un poster de la tête de hua.
— résidence : la meilleure résidence aka la résidence quartz, jeno il a pas votre temps.
— logement n° : villa wisteria, numéro q003.
sailor mars
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mer 7 Nov - 16:07
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you're back là où les lumières se perdent 2556051537
j'aime toujours autant ce perso là où les lumières se perdent 3175958430
Min Chul Hei
Min Chul Hei

là où les lumières se perdent Tumblr_px0ro1XpbM1xc1ac8o2_400

lorelei

lee minhyuk (mx) + the bestest gouine of pop (avatar) + siren charms (sign) pinterest (icons) + honne (lyrics)


là où les lumières se perdent Tumblr_p83w5zHdVr1t9it64o3_540

meet me at the bottom of the ocean
where the time is frozen
where all the universe is open
love isn't random, we are chosen

and we could wear the same crown
keep slowing your heart down
we are the gods now


'cause i love you for infinity

— emménagement le :
19/05/2018
— courriers :
1511
— autres comptes :
hae huifan (the8) & chen zhifeng (jisung nct)
— âge :
vingt-six ans.
— occupation :
make-up artist & styliste pour une agence.
— côté cœur :
i'm always just one breath away from saying your name instead of love.
— résidence :
sapphire.
— logement n° :
loft - s008
https://last-night-story.forumactif.com/t421-chul-hei-i-m-a-lost- https://last-night-story.forumactif.com/t2812-min-chul-hei-someone-to-stay https://last-night-story.forumactif.com/t435-min-chul-hei https://last-night-story.forumactif.com/t445-053-0514-min-chul-hei https://last-night-story.forumactif.com/t444-mn_chlh
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lorelei
lee minhyuk (mx) + the bestest gouine of pop (avatar) + siren charms (sign) pinterest (icons) + honne (lyrics)

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meet me at the bottom of the ocean
where the time is frozen
where all the universe is open
love isn't random, we are chosen

and we could wear the same crown
keep slowing your heart down
we are the gods now


'cause i love you for infinity

— emménagement le : 19/05/2018
— courriers : 1511
— autres comptes : hae huifan (the8) & chen zhifeng (jisung nct)
— âge : vingt-six ans.
— occupation : make-up artist & styliste pour une agence.
— côté cœur : i'm always just one breath away from saying your name instead of love.
— résidence : sapphire.
— logement n° : loft - s008
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Mer 7 Nov - 20:50
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stay away from daw là où les lumières se perdent 3141681569

là où les lumières se perdent 3175958430 là où les lumières se perdent 3175958430 là où les lumières se perdent 3175958430
là où les lumières se perdent 850885422 là où les lumières se perdent 850885422 là où les lumières se perdent 850885422
j'aime toujours autant mgkmgf
have fun avec lui là où les lumières se perdent 3837314059
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Ven 9 Nov - 14:54
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je peux enfin poster ici là où les lumières se perdent 696709701


aaaaaaaaa you're perfect I'll worship you là où les lumières se perdent 850885422
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Sam 10 Nov - 13:52
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vous êtes tous des amours mon cœur est plein là où les lumières se perdent 1742085244
ça fait plaisir de voir que vous aimez toujours autant mon fils oof ♥️
Invité
Anonymous
Invité
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Re: là où les lumières se perdent   là où les lumières se perdent Empty Sam 10 Nov - 17:46
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HAHAAHAHAHA
NON MAIS
LE TITRE
L'AES
TA PLUME
SANS PARLER DE L'HISTOIRE
JE là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875 là où les lumières se perdent 476502875
OMG MAIS CE PERSO EST TROP PARFAIT SNIF là où les lumières se perdent 1815517802 là où les lumières se perdent 827160111
SERAIT-CE LA NEUVIÈME MERVEILLE DU MONDE ????? JE PENSE BIEN là où les lumières se perdent 2448495410 là où les lumières se perdent 2556051537


résidence aphrodite
bravo pour ta validation, tu es désormais un aphroditique ! là où les lumières se perdent 4255606500 tu dois te demander impatiemment dans quel appartement tu as aménagé ainsi que les personnes vivant avec toi ! là où les lumières se perdent 4002861015  

étage : 4

appartement : F424

va de suite voir qui sont tes colocataires dans ce sujet et passe dans leur fiche de liens pour voir quel type de lien vous aurez entre colocataires ! d'ailleurs, si tu ne vois pas ton nom dans le registre, contacte l'admin qui t'a validé, il a dû oublié de le faire !
tu n'es pas satisfait par tes colocataires ou ton appartement? quand tu auras les billets nécessaires, tu pourras faire une demande de déménagement ici ! là où les lumières se perdent 1526018177
maintenant que tu es validé-e, tu peux désormais aller poster ta fiche de liens, ainsi que ton activité rp ! là où les lumières se perdent 2616465929  
si tu le désires, tu peux créer un/des scénario(s) et/ou des préliens ! là où les lumières se perdent 2421899654
si ton personnage travaille, file le recenser dans le registre des métiers ! là où les lumières se perdent 2046385643  
tu peux passer faire toutes tes demandes en tant que membre dans cette partie ! là où les lumières se perdent 3644703631  
ton téléphone ainsi que les réseaux sociaux prennent une place dans nos vies, alors pense à aller créer ton téléphone dès que tu peux, plusieurs applications sont disponibles, comme instagram, snapchat, twitter et même youtube ! là où les lumières se perdent 772914140
si tu as besoin de te défouler, la chatbox, le flood et les jeux sont à ta disposition ! tu peux faire la rencontre des autres aphroditiques dans votre partie spéciale, comprenant le flood des riches & flood des normaux, où seuls vous avez accès, cool hein là où les lumières se perdent 3673728750   
et le plus important, tu as maintenant la possibilité de rp ! si tu galères à trouver un/des partenaire(s), n'hésitez pas à passer dans ce sujet pour te faciliter la tâche! là où les lumières se perdent 3581105492  
l'équipe de last night story te souhaite une excellente aventure parmi nous, plein de love sur tes petites fesses là où les lumières se perdent 3095257803   
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