(tattooed, tattooed) permanently placed on you - hua&geon, flashback

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Geon offre un morceau de citron à chacun de ses deux amis qui, grimaçant ou grognant leur malheur, souffrent tous deux des répercussions de leurs shots de vodka bien secs. Ils se tortillent, et toussent, et il n’arrive même pas à feindre une expression de compassion alors qu’il les regarde mourir de l’intérieur. Ce n’est pas comme s’il ne les avait pas prévenus, avant qu’ils ne commencent leur mini compétition d’alcoolisme – en plus, ils étaient dans une fête d’anniversaire. Ils étaient censés s’amuser, mais pas trop pour ne pas gêner leur hôte. Et le gagnant – l’aîné du trio, celui qui a bu le plus de shots, et qui a le plus abîmé son foie ce soir – se tourne vers lui et lui sourit tout grand. « Pourquoi tu tires cette tête ? »

« Quelle tête ? » S’indigne Geon, se redressant pour s’asseoir tout droit sur sa chaise. Il continue à les juger quand même.

« Tu ressembles au chat tout renfrogné d’internet – tu sais, il est gris, petit et constipé. Comment il s’appelle déjà ? » Il se tourne vers leur troisième ami pour demander renfort, mais le nom lui revient tantôt. « Ah oui. Grumpy cat ! »

« Yah hyung ! » Sa voix s’élève pour marquer son impatience, et il aurait pu continuer son diatribe s’il n’avait pas remarqué que les deux demoiselles à la table d’à côté le regardaient curieusement. Il ferme son clapet d’un coup et il divertit son regard ailleurs, regarde partout autour de lui sauf les deux filles. Il peut sentir ses joues brûler pour manifester son embarras naissant. Devant lui, ses deux amis ne cessent de rire de sa malchance et sous la table, il estompe leurs pieds à tour de rôle pour les punir.

« D’accord, d’accord, j’arrête. Calme-toi. » Cède l’aîné qui a plus peur que ses chaussures s’abiment sous l’assaut immature du plus jeune qu’autre chose. Il ébouriffe les mèches brunes de Geon et lui offre un petit sourire plein de malice. Il secoue la tête vers la table voisine. « Hé. Tu veux faire un pari ? »

« Non. » Geon éloigne la main de son ami de ses cheveux et continue à bouder, ses joues toujours aussi rouges. Il sait où ses hyungs veulent le pousser et il n’est pas du tout d’humeur à les amuser.

Leur autre compagnon, jusqu’à là encore silencieux, insiste. « Allez. Sois pas comme ça. »

« En plus, ça va être facile pour toi car elles t’ont déjà remarqué. Elles te trouvent sûrement super cute. Et tu n’as qu’à ramener le numéro de l’une d’elle pour gagner. » L’aîné peut pratiquement entendre les roues tourner dans le crâne de Geon. C’est pas tant qu’ils veulent le voir se planter, mais plutôt qu’ils s’en font pour lui. Il n’a littéralement jamais eu de petite copine. Lorsqu’il remarque que le plus jeune n’est pas persuadé, il mise plus fort. « Si tu gagnes le pari, j’arrête de te taquiner pendant un mois. »

Son obstination prend enfin effet, et une lueur d’espoir s’illumine dans les yeux de Geon qui, finalement, ne demande qu’à ne plus être victime des blagues de ses hyungs. « Sérieux ? Tu promets ? »

Il hoche la tête, son sourire un peu plus honnête maintenant. « Et tu n’as qu’à avoir son numéro. Tu n’as même pas à l’appeler si tu n’as pas envie. »

Hésitant, mais intéressé, le jeune homme prend un moment avant de doucement hocher la tête. « D’accord. »

Finalement, c’est plus facile à dire qu’à faire, demander le numéro d’une fille. Il n’a jamais essayé avant, Geon, et avec chaque pas qu’il prend en direction de la table voisine, le plus fort son cœur bat dans sa poitrine. Il ne sait pas s’il est rassuré ou deux fois plus inquiet quand l’une des deux filles se lève et part en direction de ce qu’il devine être les sanitaires. Et si tout à l’heure, il ne l’avait pas remarqué, une fois arrivé au pied de la table, et face à face avec sa ‘cible’, la beauté de celle-ci le laisse bouche bée.

« Wow. » Lâche-t-il dans un souffle qu’il retenait malgré lui. Ses oreilles brûlent lorsqu’il perçoit les rires incontrôlables de ses potes derrière lui, mais ses yeux restent enchainés à ceux de la jolie femme. Son regard est doux, patient et curieux. Geon se reprend difficilement, mais sûrement. Il bat des paupières, agrippe son téléphone nerveusement. « Je veux dire – vous êtes vraiment – » il n’a vraiment pas les mots, « wow. »

C’est un désastre. Ses hyungs sont à deux doigts de s’étouffer de rire même s’ils n’arrivent pas à écouter leur ‘discussion’. Il sent son cou brûler, et sur le coup, il se dit qu’il ne peut pas faire pire que ça alors. Il lui tend son téléphone. « On m’a lancé un défi – mes amis, j’veux dire – et je suis censé avoir ton numéro pour gagner. Et en fait, je ne suis même pas obligé de t’appeler alors si tu te sens mal à l’aise, tu peux toujours me donner un faux numéro ! »

Ou me gifler. Geon pense qu’il le mérite.



@jang hua

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— ça, c'était le lycée que je fréquentais à séoul. les souvenirs défilaient en son esprit brouillé de nostalgie alors que diverses photographies s'imposaient au sein de l'écran de son mobile, un sourire à l'angle de ses lippes rosées, celui-ci à demi-effacé. un soupçon de mélancolie prenant son cœur en otage, daegu l'avait pourtant accueillie les bras grands ouverts, et bercée de par ses rivages déchaînés. tel un air de déjà vu, ses sourcils se fronçaient dès lors le regard posé sur un faciès contenant bien des secrets préservés, des adieux jamais prononcés. c'est en se voyant poser aux côtés de jeno qu'un semblant d’amertume la heurte, dans un silence des plus assourdissants. — c'est mon meilleur ami d'enfance... enfin, ça l'était. elle ne lui avait jamais dit au revoir, simple victime d'un départ annonçant la fuite. un enthousiasme soudain émanait de la voix de son interlocutrice, jeune fille auparavant rencontrée lors d'une quelconque soirée où hua s'était lâchement livrée à une solitude palpable, du moins, jusqu'à ce qu'une main ne vienne se tendre en sa direction. ce même geste à présent affligé sur ses frêles épaules, l'éternelle rêveuse n'ayant qu'à peine notifié l'absence de son amie, certainement bien trop éprise par ce flot de songes désagréable venant la perturber; jusqu'à ce qu'une voix aux sonorités inconnues ne l'interpelle, elle se tourne vers cette curieuse source d'agitation.

« Wow. » exclamation prononcée, elle se fige, prunelles rivées sur le gabarit imposant de ce jeune homme se tenant face à sa personne, paraissant dérouté. « Je veux dire – vous êtes vraiment – » s'ajoutait au sein de ce portrait atypique, le cellulaire de l'individu s’immisçant au plus près d'elle, comme une offrande désespérée. elle conclut alors au travers de ses paroles bafouées, qu'elle était, une fois de plus, sujette à des tourments enfantins de la part d'une gente masculine effrénée. les lignes accentuant son sourire se formaient peu à peu lorsque, tête baissée, ses yeux rieurs à la forme semblable à l'astre lunaire émergeaient au gré d'un son amusé. — je suis capable de te donner ce que tu veux, ou alors on peut tout aussi bien engager la conversation autour d'un verre que tu pourrais m'offrir, histoire d'étonner tes amis ? cela la surprenait presque; ce cruel manque de méfiance inhabituel. certainement sous l'influence du simple désir d'agrémenter ce futile jeu lancé par les gamins riant de bon cœur dans le fond du bar au silence dorénavant oublié de sa propre façon, mais ce garçon-là était doté d'une présence inspirant la confiance, et les joyaux que ses yeux contenaient ne pouvaient aucunement la laisser indifférente. — je m'appelle hua.

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Il a plus de tact avec les filles, d’habitude. Ou du moins, il aime se faire à l’illusion qu’il est capable de maintenir une discussion avec un membre de la gent opposée sans se donner en spectacle. Cela dit, ce sont les filles qui l’approchent avant, d’habitude, et il n’a qu’à rester poli, sourire et expliquer de trop longues phrases qu’il n’est pas vraiment intéressé, et qu’il se sent super flatté par leurs avances. Mais justement, d’habitude, il n’est pas intéressé, et il ne dérange pas les gens en plein repas pour demander leur numéro de téléphone.

Et – est-ce que toutes ces autres filles dont il parle étaient aussi belles que cette inconnue ? Il en doute fort. S’il ferme les yeux, il est sûr que c’est ce beau visage aux traits ridiculement parfaits qui se tracera de phosphène sous ses paupières et ça, il ne l’a jamais connu avant. Il ne réalise pas assez vite que la raison pour laquelle son cœur saute dans tous les sens dans sa poitrine est parce qu’il a été victime d’une sombre blague de l’univers qui fait que d’un simple sourire de sa part, naît un sentiment qui ressemble dangereusement à de l’affection et qui menace de submerger son thorax.

Il ne connaît même pas son nom.

Il est dans la merde.

Et il est invité à prendre un verre avec elle, soudain, et il se retient de lui demander pourquoi elle ne le remballait pas vite fait. Après tout, il n’a rien de super tandis que elle, elle ne manque plus que deux ailles et un halo au-dessus de sa tête. « Uh, » il racle sa gorge, jette un regard furtif vers les sanitaires mais s’installe quand même dans la chaise en face d’elle. « Et ton amie ? Je t’ai déjà assez embêté comme ça avec les blagues de mes amis, j’veux pas vous importuner plus que ça. » Il tend une main au-dessus de la table et attend qu’elle l’accepte. « Enchanté. Moi, c’est Geon. Shin Geon. Mais Geon suffit. Mes amis m’appellent Geon. » Hua. C’est un drôle de sentiment, mais quelque chose lui dit que c’est un prénom important qu’il ne devrait jamais perdre.

Un serveur passe à côté de leur table et il demande un refill de vodka pour deux, sourit bêtement à la belle brune. « Il t’arrive souvent, de venir ici ? Ou toi aussi, tu as été invité pour un anniversaire ? » Peut-être qu’ils ont des amis en commun, qui sait. Après tout, c’est une petite ville. Par contre, le monde que Hua détient captive dans ses iris est grand et s’il ne fait pas attention, il risque de s’y perdre. Il aimerait s’y perdre. « Je suis du genre à préférer rester chez moi, alors c’est ma première fois ici. »


@jang hua

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la sonorité de sa voix lui était alors inconnue jusqu'alors, et pourtant, elle résonnait comme une mélodie distinctive apte à éveiller sa conscience, les pulsions faisant de son sein une percussion à part entière; étouffée, ses joues rosies aux traits accentués émergeaient alors, formant un crooked smile lui étant fidèle. c'était la première fois, pourtant elle l'avait comme reconnu d'un souvenir d'antan, peut-être d'une autre vie. son aura était dotée d'une confiance hors du commun, familiarité singulière, la fille pouvait comme lui confier de quelconques dires qu'elle savait d'ores et déjà préservés avec grande attention. — ne t'en fais pas pour mon amie, telle que je la connais, elle est sûrement en train de dégoter le numéro du serveur qu'elle a repéré plus tôt dans la soirée... il faut croire qu'elle se débrouille mieux que toi. l'angle de ses lippes accompagnait un ricanement moqueur, éternelle gamine à l'esprit enfantin, plaisanteries anodines annonçant pourtant son aise presque surprenante. — geon ? je me sens moins seule à avoir un prénom sortant de l'ordinaire. la grande main masculine s'apparentant à l'imposante silhouette du garçon se voyait alors suspendue au dessus de la table que tous deux s'étaient appropriée depuis maintes minutes déjà, telle une offrande qu'elle n'hésita qu'à peine à accepter.

la sonorité de sa voix lui était alors inconnue jusqu'alors, et pourtant, celle-ci embaumait dorénavant son palpitant d'un sentiment prenant ses tripes comme otages, ayant l'air de la protagoniste type d'une oeuvre à la fois édulcorée et trop idyllique. elle notifiait avec grande attention la manière par laquelle ses yeux hazel scrutaient de par leur vaste regard, chaque trait sculptant le faciès finement formé dont la nymphe était dotée, porté par un semblant d'admiration et un soupçon de curiosité. — on peut dire ça... je viens de séoul, et bien que cela fait quelques années que j'ai emménagée ici, je ne connais pas beaucoup d'endroits comme celui-là où il est assez agréable de passer du temps entre amis. elle rit à sa confession si soudaine, comme flattée d'en apprendre davantage sur ce qui n'était il y a encore quelques heures, qu'une rencontre que nulle n'aurait pu être en mesure de présager. dans un élan de courage, elle porta le verre à ses lèvres brillant d'ivoire, le visage se rétractant dès que la substance alcoolisée se reflétant au sein de son verre cristallin et un brin trop acre n'entre en collision avec ses papilles, l'air drôlement chagriné. — désolée, je ne supporte pas très bien l'alcool fort alors ne te moque pas même si ma grimace était ridicule, d'accord ? l'univers tout entier faisait en sorte que ses rires pourraient s'harmoniser avec leur folie nocturne tant que celle-ci perdure, que ses sourires, eux, se multiplient par milliers à chaque interaction susceptible de lui en soutirer un toujours plus épanoui et que l'affection prenant place en son être ne périsse jamais. cependant, il y avait la loi du temps, les secondes qui menaçaient de mettre un terme à cette source de confort absolu, ces dernières le lui rappelant à chaque regard furtif porté envers l'horloge trônant sur le mur lui faisant face. — tu reviendras ? comme une promesse que son intérieur désirait subtilement, comme un sous-entendu bien trop bruyant, elle s'abandonnait à présent au sein d'une attente qui ne rimera qu'à son existence à lui.

@shin geon

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Il se rend compte un peu trop tard qu’il ne s’est pas arrêté de sourire depuis qu’il s’est posé à la table de Hua, et qu’il y a de fortes chances qu’elle le prenne pour un obsédé s’il ne se reprend pas en main – déjà qu’il l’a abordé de la plus bizarre des façons… en lui demandant son numéro… pour amuser ses potes. Mais quand bien même il essaye de se contenir, il n’y arrive pas : son cœur chante dans sa cage haut et fort, et il n’y a rien à faire. Ses battements jouent une sérénade qu’il craint atteindre la belle femme malgré la musique bruyante du bar. « Hé – dis pas ça ! Ton amie n’a pas affaire avec la plus belle femme sur terre, que je sache. » Dit-il, lèvres en moue boudeuse. « Tu as l’air d’être une personne merveilleuse alors… c’est pas facile de t’approcher. » C’est peut-être trop dire trop vite. Il a peur de lui faire peur, mais autant elle le rend nerveux, Hua met toute son âme en paix. Geon a lu assez de livres pour savoir ce que tout ça veut dire et étonnement, il n’en a pas peur. Au contraire, il a l’impression qu’avant ce moment-même, sa vie n’avait aucun sens.

Derrière eux, ses amis ricanent trop fort et il roule les yeux, s’excusant – encore – tout bas pour leur idiotie. « Tu sais, t’as pas l’air d’être de Séoul. » Il prend une petite gorgée de sa boisson et s’explique, « j’imagine les gens des là-bas tous renfrognés, tous accablés par le rythme de la vie, comme dans les dramas. » Comme pour illustrer ce qu’il entend, il grimace, ses sourcils froncés et les lisières de ses lèvres courbés vers le bas. Puis, tout aussi rapidement, son expression redevient tendre et ses yeux se remplissent d’adoration qu’il déverse à Hua honnêtement. « Mais pas toi. Tu es… pleine de vie. » Peut-être que c’est vrai, qu’avant l’avoir rencontré, sa vie n’avait aucun sens. Peut-être même que sa vie a commencé à l’instant, au premier regard échangé avec elle. C’est poétique, mais tellement vrai.

Son cœur se noue d’affection lorsqu’elle grimace au gout de l’alcool et l’émotion est si forte qu’elle lui monte jusqu’à la gorge et éclate en un rire amusé. « Je me moque pas, je me moque pas – juste un peu ? » Une panoplie de blanc s’affiche – son sourire est grand et taquin. Après ça, c’est facile. Et naturel, entre eux. Rien qu’entre eux. Parce que pendant les quelques heures qu’ils passent ensemble avant qu’elle n’ait à partir, il aurait pu jurer que l’univers était réduit à leurs deux petites personnes. Il n’a pas envie de revenir au monde réel après ça. Il espère qu’elle non plus. – tu reviendras ? il sait qu’elle non plus. « ici ? oui. Tu reviendras toi ? » La question retournée, il cherche son regard. Tu me reviendras ?

Quand Hua quitte le bar, quelques minutes plus tard, il revient à la table de ses amis et quand on lui demande ce qu’il en est de leur pari qu’il se rend compte qu’il n’a pas enregistré son numéro.

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Geon trouve que les gens qui pensent que le monde est petit sont tarés. Il aboutit à cette conclusion une semaine après sa rencontre avec Hua qui, en fait, était peut-être le fruit de son imagination, finalement. Ça expliquerait tant de choses : la beauté surréelle de l'objet de son affection et son affliction, les sentiments surréels qu’elle l’évoque en lui et le fait qu’il a demandé après elle à tous ses amis, mais personne ne sait de qui il s’agit.

Il commence à perdre foi vers le dixième jour. Un soupir le quitte pour la énième fois, ses épaules effondrés pour lui donner un air tout pathétique alors qu’il franchit l’entrée du bar – leur bar – comme il le fait chaque jour depuis l’autre soir – leur soir. Le barman le reconnaît facilement. « Toujours rien ? » lui lance-t-il avant même de dire bonsoir.

Geon secoue la tête et passe une main dans ses cheveux pour chasser la petite mèche qui dérangeait. Un autre soupire. « T’étais là, l’autre soir, non ? Je ne l’ai pas imaginé, hein ? Elle était bien là ? »

Le serveur rigole, mais pas pour se moquer. « Oui, oui. Elle était bien là. » Il lui tend un verre de vodka. Pendant un long moment, il cherche comment réconforter son client favori, mais il au final, il n'a pas à dire un mot de plus. S’il n’avait pas cru Geon avant lorsqu’il parlait de destin et d’amour, quand il remarque la femme qui vient d’entrer dans le magasin, il en gagne la conviction. « Elle est bien là. » Dit-il, voix lacé de surprise.

Geon le regard de sourcils froncés, confus. « Pardon ? » Il n’a qu’un hochement de tête en guise de réponse et il suit le regard du barman derrière lui par curiosité – il manque presque de tomber de sa chaise.

Hua.

Il se pense le bras juste pour être certain qu'il ne s'imagine rien.





@jang hua