bienvenue sur lns, un forum city de type résidence. chaque appartement est en colocation pour faciliter la création de liens. l'action se déroule dans la ville de séoul, en corée du sud. le forum a ouvert le 27 avril 2018. 7 jours sont accordés pour terminer la fiche. deux rp demandés tous les mois, merci de faire un effort sur l'orthographe. pas de lignes minimum, lns privilégie les réponses courtes.
et sur ses traits reposeront les vies passées d'une descendance coupée, scarifiée, des visages emportés par des nuées de corbeaux, dans des cortèges macabres. il portait l'amour de ses parents en son patronyme, des heures d'attentes et de baisers, des mois d'impatiente envie, des réflexions allongées contre le lit. byun, comme un fantôme d'antan, comme une mélodie d'enfance ricochant dans son crâne, un parfum faisant remonter à la surface des souvenirs voilés de brumes pensives...byun, semblable à un artefact de la mort, le sempiternel rappel qu'il est le fils d'un cadavre-paternel. micha, michael quand il avait dû, en classe, choisir son prénom anglicisé...des bribes d'un désir de michel-ange, micha-ailes
date de naissance, âge
dégoulinant de couleurs délavées sur une jeunesse écaillée par les malices du temps, frémissant aux vibrations du monde comme la rosée du matin, enregistrant les fréquences changeantes, les white noises qui l'assourdissent tant...une larme versée en soufflant ses bougies, et la peur de mourir sans en avoir profité lui déchirant les tripes. vingt-ans, l'accumulation de dépôts amers bouchant les fossés de son cerveau, florale mélancolie se formant sur la surface, et des rêves timides dévalant de ses poches lorsqu'il en sort ses mains. réveillé d'un monde de noirceur et chaleur par les premiers rayons froids du soleil d'une aube hivernale, le 25 janvier 1998.
lieu de naissance, origines
sous le ciel d'une ville-bactérienne, se mouvant sans cesse, grossissant, nourrie par les trafics humains, les traces de lumières multicolores, les moteurs vrombissant, a-t-il vu le jour se lever en même temps que lui...et les yeux larmoyants, ouverts, rencontrèrent l'immensité séoulite.
statut civil, orientation
quelques gouttes de peintures se diluant dans ses iris encrées, micha voyait d'abord les couleurs...tombait amoureux des teintes, des différences de luminosité, s'accrochait aux nuances, cristallisant dans sa caboche les gradations humaines. et puis il y avait ces voix et ces odeurs, des vortex vers des idées fugaces, des souvenirs enfermés dans sa mémoire...il ne voyait qu'après tout cela, l'être humain qui s'y cachait, derrière son histoire et le rythme singulier de ses battements de cœur. micha s'amourachait cinq fois par jour, et le double, la nuit tombée...il admirait, se fascinait pour un grain de peau, complimentait les particularités trouvées défauts aux yeux de la société ou de la personne...micha était un désespérant amant, s'émouvant pour un claquement de langue, un sourire perdu au milieu d'une foule.
métier, études, occupation
explorateur de tons, magicien des pinceaux, il aimait l'art et rien d'autre. prodige d'une horreur romantique, mêlant violence à la douceur des brumes automnales, troublant les esprits par ses goûts éclectiques. peintre. vendant certaines de ses œuvres sur sa boutique en ligne sous forme de cartes postales, posters, sacs ou t-shirts.
statut monétaire, classe sociale
quelques sous se bousculant dans ses poches trouées, d'autres s'entassant dans des pots de confiture vides, l'argent parsemait sa vie, sans jamais l'étouffer...il avait appris à exister en se suffisant des simplicités, et non son compte en banque. et parfois, dans une enveloppe signée d'un joli "maman", des billets venaient colorer la pâleur de son corps affamé.
tocs, manies, hobbies
quelques bouts de papiers griffonnés se perdant dans une vague venteuse, envolés dans des cieux pluvieux, s'écrasant dans des flaques grisâtres, dispersant leur encre entre les eaux mornes, micha rajoutait des coups de pinceaux dans chaque recoins de la cité. silencieux, amoureux introverti, travestissant les affres du sinistre en fragile beauté, il s'embourbait d'art et de rêvasseries futiles. se noyait d'imagination et d'abomination. attrapant les rayons chauds des astres, des jars of- couronnaient le rebord de sa fenêtre, il y déposait les petites pièces qu'il pouvait se faire en enchaînant les médiocres boulots de jeunesse miséreuse. à l'angle de sa commode, auprès de son lit, une petite boîte de drôles de pilules qu'il ingurgitait chaque soir comme une prière, fidèle croyant, un sos envoyé à l'intérieur charbonneux de son être...on les lui avait prescrit pour calmer les maux de l'anxiété et sécher les sillons de larmes figeant ses tempes à la mort de son père, il ne sait plus exactement s'il en a encore réellement besoin, pourtant trouve-t-il toujours un moyen de se procurer des ordonnances de médecins douteux. au fond de son tiroir, derrière des brouillons qu'il ne retrouvera plus avant plusieurs mois, se sont installés des boutons de toute forme et teinte, là car maman lui a toujours dit qu'il était utile d'en avoir. un cendrier perdu sur une chaise, rempli de cendres froides, un paquet de cigarettes échoué sous son berceau d'adulte qu'il chercherait pendant une dizaine de minutes de ses doigts rongés, ensanglantés parfois, les membres, couchés, engourdis par la fatigue. de multiples cassettes s'étaient nichées entre ses pulls de laine et ses hauts simplistes, souvent n'ont-elles même plus le nom de l'artiste respectif, alors micha les inventait, leur donnant des pseudonymes loufoques, des vies extraordinaires. s’ébouriffant les cheveux, la langue, tâchée par les myrtilles qu'il s'offrait dans un luxe soudain, qui prononçait des mots étrangers, des syllabes qu'il allongeait sur le papier de ses lettres destinées à sa mère. roulant sur son vieux bicycle pour les lui envoyer, en espérant que de là où elle est, elle pouvait encore sentir l'amour qu'il lui portait. puis il rendait visite à son père, quelques bouquets fleurissant ses mains, des pages remplies de ses sentiments, ses dessins, ses photographies, ses pensées, des espérances que de là où il était, il n'oubliait pas de jeter un coup d’œil sur cette terre qu'il avait tant chéri.
style, tatouages, piercings
des croûtes de peintures multicolorées parsemant ses jeans troués, de simples hauts surmontant sa personne de pulls, des vestes en cuir usé, des cols roulés baignés de noir, micha s'engouffrait dans une masse de sobriété...rien ne couvrait son corps de superficialité, il n'avait besoin que des décorations qu'il s'était engravé, seul dans sa chambre, sur sa peau laiteuse : une constellation sur son avant bras, un fantôme sur ses côtes droites, une lune (son premier, à l'âge de onze ans, pour lequel ses parents s'étaient fâchés) en plein milieu de sa cuisse (endroit qu'il regrette à présent), et enfin, réalisé avec l'aide d'un de ses amis, une manche sur son bras gauche mêlant la morbidité du corbeau, l'effroyable charme de tomie (personnage d'un manga de junji ito) et la délicatesse des fleurs de cerisiers. également percé aux oreilles, de mauvaises expériences qui lui rappellent l'électricité de la glace, et la vivacité de son sang...cela ne lui a pas empêcher de se trouer le cartilage pour des doubles hélix faites, cette fois-ci, par un professionnel. sur son genoux droit, demeure une cicatrice, l'évocation d'une chute en vélo remontant à son enfance.
phobie, secret, rêve
la peur de vieillir consumait ses entrailles, les tordant de panique soudaine, de bouffées de chaleur embrasant l'entièreté de ses poumons...c'est qu'il lui a fallu envisager la mort très tôt, la mort stérile, triomphante des désirs humains, impératrice impitoyable dérobant froidement toutes les âmes...et ce même si elles n'avaient pas encore goûté à la satisfaction de voir leurs rêves se matérialiser. micha se refusait donc des projets grandioses, se satisfaisant des petits songes du quotidien : se préparer un café amer, sentir le liquide lui brûler l'estomac (et se maudire de l'avoir avalé si rapidement sans même avoir mangé quelque-chose au préalable), réussir à monter les marches trois par trois, traverser le passage piéton en moins de dix secondes, arriver à compter toutes les étoiles du plafond nocturne...
dry paint, morning sun, the "clack" of a polaroid, shoegazing/dream pop, consumed cigarettes, night wind, first snow, junji ito, retro horror movies, melancholy, old bike, dawn rides, bitter coffee.
des fractions de secondes, fragiles et frémissant d'une douce vivacité telles de légères plumes, c'est tout ce qu'il suffisait pour que l'orage disparaisse...qui avait-il entre cet espace ? ce passage de la tempête au calme olympien...entre les rires et les larmes, entre la banalité, le quotidien et l’inattendu, entre les paroles et les silences...entre la vie et la mort. Qui avait-il ? dans cet infime espace-là où les plumes, duveteuses, disparaissent dans un coup de vent, battant de leur blancheur le ciel trop grand. Il semblait que dans un si petit lieu se déroulait l'essence même de l'existence, la fugace limite entre l'éternel et l'éphémère, transcendant l'horizon des lois physiques, seulement la poésie des non-dits, des tambourinement pressés du cœur, de toutes ces pensées qu'on aurait voulu faire parole, et tous ces sentiments qu'on aurait voulu attraper. volage. évanescent. perdu. un arrêt dans le temps et on aurait pu se volatiliser vers la déraison, la floraison de l'art... il n'y avait que des poèmes d'émotions, des peintures de sentiments, des fresques biologiques et le reste n'était que l'oeuvre du diable. micha était un fantôme oublié entre deux inspirations, ici, là-bas, juste là...laissé pour demi-enfant aux demi-parents dans un environnement vêtu de blanc. stérile. vierge. micha était taché, de bleu, jaune, vert, rouge et noir...tâché de millions de couleurs et de ses mains sales, malgré les réprimandes, il embourbait les lieux de ses teintes furibondes. micha avait laissé son corps quelque-part dans cet hôpital, pour cadavre enfantin, se détachant du bambin pour enlacer, de toute sa hauteur soudainement trop mature pour son âge, sa mère ensanglantée de larmes. madame byun, nous sommes désolés.
il avait la raison de ceux qui avaient longtemps vécu, et la folie de ceux qui n'avaient jamais assez vécu. juste une énième âme s'étant entichée du sempiternelle, regrettant à chaque minute la décadence de ses cellules. la mortalité sonnant le funeste destin, les yeux larmoyants s'épanchaient de rêveries futiles pour combler le fil de sa vie. il y avait quelques coupures, des instants où l'éternité, comme une jouvence exquise, se déroulait de ses manches trempées de peinture, ses doigts encrassés de fusain. et micha ne désirait qu'une seule chose, profondément, si secrètement qu'il n'osait l'espérer réellement, s'évaporer dans sa créativité. si le moment était venu de mourir, ce serait le bonheur suprême. crever d'un pinceau lascif planté dans le cœur, et sentir, sous le craquement de ses côtes, toute la vie jaillir vivement de la fissure. micha...micha, il ne connaissait rien d'autre du monde que ceci : il n'y avait que l'art, et seulement l'art, rien d'autre, qui pouvait magnifier l'atrocité de la condition humaine.
contrat de logement
envie de vivre en location: oui. à l'olympus complex depuis: deux ans. level de sociabilité: 30 à 50%. quel type de voisin êtes-vous: discret, petit fantôme apparaissant soudainement sur le seuil la porte séparant la cuisine du reste, cherchant un bol de nouilles non-cuisinées. il est également celui qui sourit, rayonnant de malice et de joie, lorsque l'occasion se présente de plaisanter avec ses voisins. lève-tôt, couche-tard, introverti et assez rêveur, micha passe en coup de vent, ou bien s'enracine dans sa chambre. êtes-vous riche ou dans la normale: normale voire un peu pauvre. vous engagez-vous à respecter les règles de l'o.c: oui.
les nuages gris, denses comme la brume aveuglant son cœur, parcouraient l'immensité de son sombre regard. nocturnes iris aux profondeurs inexplorées, des scintillements remontant à la surface, à travers l'épaisseur de la noirceur, trompant la masse d'une vivacité pourtant éteinte.
-voici le célèbre explorateur, indiana byun, force de la nature, intelligence incomparable, charmeur de ses dames [...] -beurk ! -chut...et son fidèle compagnon, monsieur drap, le petit fantôme d'un petit prince maya [...] -aztèque ! -hm, pardon...petit prince aztèque disparu depuis des années. ensemble, découvrent-ils les trésors de la terre [...] -des coffres entiers remplis d'or et de squelettes ! -des pièces entières même ! vaillants héros, attention à vous les méchants, et les pilleurs [...] -j'arrive pour vous faire trembler !
les rires enfantins s'évanouissaient dans le salon, tandis que monsieur drap voguait dans l'espace, sautant du canapé à la table basse, courant entre les chaises et le poste de télévision, son drapé blanc moussant contre toutes les parois. deux grands trous à la place des yeux pour mieux apercevoir ses ennemis, et surtout pour toujours retrouver son ami (son papa) indiana byun. ensemble, découvrent-ils les trésors de la terre , s'imaginaient-ils protagonistes légendaires partant pour des aventures dangereuses, le temps que la maisonnée ramasse assez d'argent pour faire de ce grand rêve, une réalité. ce grand jeu, une vérité. papa voulait parcourir le monde, traverser des océans et s'émerveiller des splendeurs que ruissellent les diverses cultures, les multitudes de pays...c'était ce goût pour l'abstrait, le bordélique harmonieux des forêts denses et des torrents ravageurs. et tout comme son personnage, le courage dont s'armait le père byun devait attendrir le pire des démons. devait faire fleurir des pétales multicolores dans les fosses enflammées de l'enfer.
la porte se referma derrière lui, blanche et froide, le traits lumineux hantant toujours les pupilles du jeune micha. c'était cet espace-là...ce lieu précis dans lequel il s'évanouit à tout jamais. puis après cela, le silence.
lourd, pesant. le pouls s'accélérant, le sang battant hâtivement contre les tempes. et le déchirement. ce cri dévastant le tirant de ce semblant d'éternité provenant de la poitrine de sa mère, l'appel de détresse du cœur qui venait de lâcher...micha ne savait si elle était assez forte pour pouvoir le réanimer. froide et humide comme un cadavre en voie de décomposition, que les insectes commençaient déjà à déguster...c'est l'instinct qui l'entraîna à se jeter dans ses bras, à l'enlacer fortement, la réchauffer et la protéger de ce qui lui causait tant de maux : ces mots que le médecin avait murmuré à demi-teinte entre le gris et le noir, la pâleur des murs enrobant chaque syllabe d'une pureté mortuaire.
le combat contre la maladie avait été beau et long. il l'était toujours. même perdu, il perdurait dans l'esprit de micha...lui qui s'était volatilisé dans cet espace-là. il y avait eu comme une dissociation, entre le gamin étant resté à l’hôpital, figé dans son infinie jouvence, et le grand, l'adulte en devenir, qui avait, par amour, pris en charge les douleurs de celle qui lui avait donné la vie. comme une séparation entre cet état en suspens, où ni le bonheur ni le malheur ne pouvaient salir la virginité suprême de l'inconnu. un état divin où rien ne venait perturber...une fraction de seconde, avant que tout bascule.
et que monsieur drap devienne papa.
Il y avait eu des contrées qu'il ne connaissait pas, des langues étrangères roulant contre son palet, des amis qu'il abandonnait sans même pouvoir dire au revoir, et une mère effarée. Éprise d'une euphorie transcendant ses peurs et sa mortalité, elle circulait, énergie libre, porteuse des traces des baisers fantomatiques de son mari, hantée à jamais par sa silhouette ombrageuse, dans le monde entier. Comme une promesse frémissante, des fleurs déposées sur la tombe avec la conviction de pouvoir faire revivre les morts avec un semblant de couleurs, elle parcourait le globe, la tête de son fils se balançant sur sa poitrine, contre son cœur mourant. Il n'y avait plus que lui...lui et lui et lui et lui et lui, avec le sourire de son père, les yeux émerveillés de son amour perdu. Dérobé par un vil cancer lui ayant bouffé la gorge...et ces clopes, qui empestaient ses doigts alors qu'elle regardait son enfant avaler des œufs au plat et du bacon. Il lui a fallut fuir...loin de tout, de son cadavre, de ces pensées, de ces regards et ces condoléances qu'on lui offrait semblable à des cartes de visites, un fast-food de bonnes intentions préfabriquées. Et en fuyant, elle avait l'impression, actuellement, de le tenir, de le retenir auprès d'elle...l'envie de lui sourire et critiquer les prix de ce diner américain...c'était lui qui aurait du faire tout ceci. Découvrir les cultures des autres, se divertir de la beauté de la nature, s'extasier devant les merveilles qu'il y avait ici...juste dehors, hors de leur ville séoulite, hors de leur quotidien banal et morose. Elle ne voulait pas de ça pour son fils, son unique, possédé par l'esprit du père. Maîtresse d'école ayant tout quitté pour faire le tour du monde, recluse de la famille du paternel jugeant son action déraisonné, extravagante, une folie qu'ils continuent à ce jour de fouetter de leurs mots pervers. C'était l'école de la vie qu'elle inculquait à Micha...de vivre ses rêves, les réaliser avant que tout ne soit trop tard...avant qu'une beau jour, elle ne se vide de ses larmes sur ses restes à lui. Micha n'avait connu que les routes et la diversité...que les premiers amours sous le soleil de Rio, et les premiers chagrins dans les bras du froid de Moscou.
Que le retour à Séoul, pour rattraper les dernières vibrations de son père, laissant sa mère travailler dans ce même diner qu'elle avait toujours critiqué. Que l'art... l'art et l'art, murmure secret de sa violence enterrée, de sa rage abîmée, de son deuil inachevé.
— emménagement le : 11/04/2018 — courriers : 1923 — autres comptes : siwan le fou. [☆] vinh le mécano. — âge : vingt-quatre années à faire l'enculé. — occupation : héritier de la famille nam en faisant un coup de pute à son frère, model, instagramer. — côté cœur : l'autopsie de son cœur révèle un poster de la tête de hua. — résidence : la meilleure résidence aka la résidence quartz, jeno il a pas votre temps. — logement n° : villa wisteria, numéro q003.
— emménagement le : 11/04/2018 — courriers : 1923 — autres comptes : siwan le fou. [☆] vinh le mécano. — âge : vingt-quatre années à faire l'enculé. — occupation : héritier de la famille nam en faisant un coup de pute à son frère, model, instagramer. — côté cœur : l'autopsie de son cœur révèle un poster de la tête de hua. — résidence : la meilleure résidence aka la résidence quartz, jeno il a pas votre temps. — logement n° : villa wisteria, numéro q003.
OUINNNNNNNNNNNN TU POSTES ENFIN ce début de fiche oki c'est quoi les cheveux même hâte d'être slayed encore plus quand t'auras terminé comme tu sais déjà j'aime trop le pseudo micha ça va trop bien à jungkook bienvenue sur lns sois comme chez toi ici du love
queen of pop jtm, un début de fiche qui m'arrache mes cheveux, as expected hâte de lire la suite et de devenir totalement chauve PTDNLKRDR et surtout bienvenue ici bb
byun, comme un fantôme d'antan, comme une mélodie d'enfance ricochant dans son crâne, un parfum faisant remonter à la surface des souvenirs voilés de brumes pensives
Citation :
es bribes d'un désir de michel-ange, micha-ailes
Citation :
dégoulinant de couleurs délavées sur une jeunesse écaillée par les malices du temps
mais ??? oUIN
Citation :
une larme versée en soufflant ses bougies, et la peur de mourir sans en avoir profité lui déchirant les tripes.
AAAAAH MA WIG SCDFGHJ
OK BAH DÉJÀ OUIN
y a que quelques lignes et je suis déjà dcd pk la vie ?? c'est quoi cette plume de sqdfghjkl je, je, je suis émue
bienvenue beauté et trop hâte de lire ta fiche au complet
Jang Hea
urmom kh
&
— emménagement le : 14/04/2018 — courriers : 1845 — autres comptes : hylan and huan sweeties — âge : twenty-three, a riddle. — occupation : héritière, échec ambulant, instagram shitposter et femme au foyer. — côté cœur : l'anneau sacré au doigt. le cœur tourmenté par les dérives d'une brune. — résidence : quartz — logement n° : villa q002
urmom kh
&
— emménagement le : 14/04/2018 — courriers : 1845 — autres comptes : hylan and huan sweeties — âge : twenty-three, a riddle. — occupation : héritière, échec ambulant, instagram shitposter et femme au foyer. — côté cœur : l'anneau sacré au doigt. le cœur tourmenté par les dérives d'une brune. — résidence : quartz — logement n° : villa q002
humeur : ta plume je suis au bout du rouleau, puis troye sivan puis jeon jungkook puis cet aesthetism puis ta PLUME purée j'suis trop hyped pour la suite de ta fiche, hâte que tu slay davantage le game (puisque ça ne peut qu'être possible)
EUUUUUU ????? OK ??? MAIS LE AMOUNT OF KINDNESS SINON C'EST POUR ME TUER OU BIEN ??? bah ouiiiin merci vous êtes tous trop gentils et adorables, des anges (les anges à séoul *musique du générique*)
@nam jeno oui je poste enfin laissez moi trkl j'ai une vie compliquée d'accord jpeux pas être sur tous les fronts ouiiiiiiiiiiiiiin merci beaucoup j'espère que le reste te plaira aussi même si cque j'écris vraiment vous le overrated trop mais c'est par pitié je suppose merci beaucoup
@kang tae hyun queen of pop toi-mm jveux dire kai là ??? mon mec d'amour ??? mon doudou ?? mon nini ??? ouiiiiiiiiin jtm t bô open your eyes pour la suite alors et surtout...merci beaucoup !!!
@kwon ivar fkjdlkffdtf cett vidéo c moi quand je vois mes sujets d'examens et que jcommence à paniquer ptn taehyung mon keum de toujours là puis cet avatar trop mims dessus ouin et ouin baudelaire is tranquille surtout là arrêtez de dire n'imp (jvoulais placer le meme de segolene qui dit "non je ne me calmerai pas" mais jmets trop de memes partout là ça va plus du tout) mais merci beaucoup
@jang hua irene, ma wig est désintégrée merci beaucoup
@im bora O M G KRYSTAL MA VIE ENTIERE JE . OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN pk jfais genre je suis choquée pck je savais que tu me l'avais dérobé jsuis perdue moi sans elle comment je fais ??? bref inutile de dire que le choix d'avatar est parfait et en plus tu me cites là ???? ouiiiiIIIIIIIN ????? choquée mais pas déçue merci énormément pour tes compliments, now work it avec ma beauté céleste de soojung
@jang hea ptdr ce non ??? mais lol hyuna, une autre beauté je suis subjuguée merci beaucoup
@moon kael MAIS ??? HJDKJFSDRTFYGF STOP IT vous êtes TROP adorables je ??? puis c'est toi la queen des plumes là merci de pas commencer à confondre merci beaucoup en tout cas ouin
@kwon milo JE ???????????????????????????? JE SUIS PERDUE DANS LES EMOTIONS DE LA VIE LA ???? jsuis trop touchée merci beaucoup puis toi same hein jte retourne les compliments de ce que j'ai vu/lu j'espère que la suite plaira !
@kang lina (ptn y a que des kang c koi ça) ouah lisa bah merci beaucoup je pleure ouin
merci encore beaucoup à tous les chouchous et sur ce, jm'envole la bise
Ahn Siyang
solsken, clem pls kwon hyuk (god) + hoodwink
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— emménagement le : 21/04/2018 — courriers : 490 — autres comptes : shim eojin + imai nami + na hansol + myung jun + sato eren — âge : vingt-trois années qu'il se traîne, fils qu'on aurait voulu parfait mais il n'en est rien. — occupation : faussement étudiant, siyang qui préfère jouer, dépenser son argent, faire la fête sans s'arrêter. — côté cœur : le cœur qu'il aurait voulu effacer, vil organe hanté par un visage, un nom. — résidence : athéna, luxe impossible à ignorer. siyang qui a toujours fait partie de ce monde. — logement n° : A103, premier étage avec minji et minah
solsken, clem pls kwon hyuk (god) + hoodwink
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— emménagement le : 21/04/2018 — courriers : 490 — autres comptes : shim eojin + imai nami + na hansol + myung jun + sato eren — âge : vingt-trois années qu'il se traîne, fils qu'on aurait voulu parfait mais il n'en est rien. — occupation : faussement étudiant, siyang qui préfère jouer, dépenser son argent, faire la fête sans s'arrêter. — côté cœur : le cœur qu'il aurait voulu effacer, vil organe hanté par un visage, un nom. — résidence : athéna, luxe impossible à ignorer. siyang qui a toujours fait partie de ce monde. — logement n° : A103, premier étage avec minji et minah