bienvenue sur lns, un forum city de type résidence. chaque appartement est en colocation pour faciliter la création de liens. l'action se déroule dans la ville de séoul, en corée du sud. le forum a ouvert le 27 avril 2018. 7 jours sont accordés pour terminer la fiche. deux rp demandés tous les mois, merci de faire un effort sur l'orthographe. pas de lignes minimum, lns privilégie les réponses courtes.
i am you enfance troublée, quelque peu dévastatrice, il ère, éros, au beau milieu de la nuit, sur les bancs entourant le campus. bercé par un clair de lune, il est pensif, l'esprit volatile, indécis face l'attirance qui nait pour l'interdit. byeol. étoile filante, s'envolant, disparaissant, signe divin pour cet esprit si tourmenté qui n'a guère l'envie d'offrir de son sommeil à morphée. alors éros, il offre quelques supplices à ses lippes, rongées par une dentition parfaite, il n'a de cesse que de réfléchir, penser, calculer. apaiser ses envies, ses désirs aussi profonds qu'ils puissent être. terribletourment. il en viendrait presque à détester celui qui semble être qu'un simple élève au beau milieu de son amphithéâtre. puis non. même cela, il n'en a guère envie. éprit ou non, il divague et marche à nouveau, s'oubliant tout en oubliant son chemin, son but. l'université fermée, il tente inconsciemment de faire demi-tour, tente de retourner sur ses pas pour mieux retrouver son chez lui. mais une fois n'est pas coutume, il faiblit et s'assit à nouveau, la grimace caressant son visage de fils lointain.
enfant qui n'est plus. être oublié.
il n'en redevient que plus pensif et ainsi, sous les aspects d'une lune des plus moqueuse, il vient à grogner son désarroi. perdu, entre ici et là. il se relève à nouveau, toujours guidé par l'indécision. il reprend route, à nouveau. puis le choc. l'altercation involontaire. celle qui vient à le sauver de ses pensées bien tortueuses, celle qui l'ôte de ses terribles supplices. celle qui le sauve de sa perte nocturne. âme salvatrice qui s'aborde sous une sombre chevelure. c'est sous un aspect presque angélique que la belle apparaît face à lui, au beau milieu de la nuit. il s'excuse alors bien rapidement, l'homme qui possède un visage des plus marqué par la vie. rides naissantes, il sourit poliment à la douce créature qui semble aussi perturbée que lui. « pardonnez mon manque d'attention, mademoiselle. » la politesse au bord des lèvres. il la porte encore, lui qui pourtant s'est envolé et se cache de sa haute société couverte d'or et diamant. puis à nouveau, il se plonge dans un océan des plus perplexes.
la vue trouble, les frissons qui parcourent une échine et les dents qui viennent à grincer sous ce visage qui lui semble des plus familiers. impossible pour cet homme amoureux d'histoire d'être capable d'apercevoir la douce créature qui au final, elle aussi, vient à semer le trouble dans sa balade nocturne.
La déception ne vient jamais des autres, elle n'est que le reflet de nos erreurs de jugement.
Ce soir était une bien mauvaise idée en fin de compte. La nuit était tombé depuis un moment déjà quand je remarquait enfin qu’il y avait du monde autour de moi. Normal quand on sait où je me trouve. En boite. Encore, je m’y suis perdu en marchant et errant dans les rues sombres de la ville. J’y étais entré dans le but de boire un verre, me faire inviter et pourquoi pas squatté le lit d’un inconnu que je ne voudrais sans doute plus jamais revoir, faisant le nécessaire pour fuir avant son réveil, mais rien n’était arrivé. Oh, bien des gars ont tenté le coup mais entre les parfums bas de gamme et les alcooliques qui sentent plus que l’alcool, non merci je m’en passerais.
J’avais donc pris la fuite en laissant un billet bien plus gros que ce qu’il en fallait sur le bar, j’avais pris mes affaires et j'avais quitter la boites de nuit. Je n'étais pas du genre à avoir peur la nuit parce que mon père, enfin mon oncle faisait tout pour que rien ne m’arrive. Il faisait partie du monde de la nuit comme on dit et je savais que rien ne pourrait m'arriver en ce sens. Je remet ma veste en jean sur mon dos laissant une de mes épaules à l’air et j’avançais sans but précis.
Au bout d’un moment alors que je relevais la tête pour savoir où j’en étais dans mon trajet pour rentrer, je remarquais que j’avançais pas vers chez moi mais bel et bien dans des rues que je ne connaissais pas. Je soupirais un bon coup et je soufflais un bon coup et prenait mon sang froid avant d’avancer légèrement plus vite. J’avais pas de raison d’avoir peur mais simplement par principe je voulais retrouver les rues que je connaissais. D’un coup et s’en m’en rendre compte sur le coup, je cognais quelqu’un de pleine face. Je relève la tête et je plonge mon regard dans celui de l’homme en question. J’en perdais mon souffle, une telle beauté qui semblait si perdu et en même temps si sûr de lui. Je ramassai mon sac qui était tombé et je replaçais mes cheveux l’air de rien. « Eh merde, excusez-moi, je ne regardais pas où j’allais. Je ne vous ai pas fait mal au moins ? » Je regardais un peu partout autour de lui comme pour voir si j’avais causer des soucis à cet homme dans cette ruelle plutôt sombre maintenant que j’y regarde. Je finis par le regarder à nouveau me demandant si tout allait bien pour lui.
i am you altercation involontaire. destin capricieux qui vient à semer le trouble là où il n'en a guère besoin. âme déjà bien en peine, éros devient victime de son propre destin. maudissant ce dernier intérieurement, il jurerait presque les dieux lointains de ne pas être né sous une bonne étoile. le grec s'enfonce alors malgré lui. sombre dans un tourment ou une amertume le berce. il peine à calmer ses frissons si particuliers. nageant entre le trouble et l'indécision, il se plonge finalement dans un silence des plus pesant. perles troublées par la vu d'un visage qui lui semble familier, il peine à décrocher son regard de la jeune brune. les yeux plissés, il vient à ignorer les propos semblables à des excuses de la jeune inconnu avant de finalement reprendre conscience. gêne soudaine, il grimace tel un enfant honteux avant de glisser l'une de ses mains sur sa nuque.
perplexe au possible, il racle sa gorge, cherchant à se ressaisir au plus vite avant d'offrir un sourire des plus doux à son apparition nocturne. l'humidité flottant dans les airs vient à le pousser à se soucier de l'inconnue, oubliant ses sensations bien trop vicieuses et déstabilisantes. âme paternelle, il s'inquiète alors du sort de la demoiselle. « que faites-vous au beau milieu de la nuit, seule ? » le danger à chaque coin de rue, il peine à trouver la situation des plus rassurantes, quelque soit son statut dans cette société.
voix des plus douces, il observe avec attention la jeune femme avant de sourire à nouveau. le trouble envolé, il retire sa main de sa nuque, retrouvant, oubliant sa panique pour se laisser glisser sur une pente de douceur. « il n'y a rien de bien rassurant à savoir une jeune femme seule au beau milieu de la nuit. surtout en ces temps qui courent. » maintes fois pas il avait été témoin d'agression, éros. maintes fois il avait joué les preux chevaliers pour ses élèves, car bien curieux du monde de la nuit, s'attiraient des ennuis malgré eux. « oh, j'espère ne pas vous avoir trop bousculée. » le rire moqueur, frôlant la gêne, il ne peut s'empêcher de dévisager la belle à nouveau avant qu'un soupir ne lui échappe.
enfant des dieux, troublé au possible. il ère sous un astre bien malicieux, le destin jouant à sa guise.
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Mer 17 Juil - 1:25
