ddol min, really bad boy.

01 — une mère ivrogne depuis sa tendre enfance, ddol min à été éduquer à la dure comme il aime bien le dire en plaisantant. sous cette blague et son rire se cache une mère abusif, une mère qui avait la main facile. violente avec lui depuis toujours selon ses souvenirs, encore pire lorsqu’elle est alcoolisée. un corps témoin de cette violence quotidienne et une manie de se couvrir plus que nécessaire également pour cacher cette honte qu'il traine. il déteste la violence car cela lui rappelle sa mère. les coups de ceinture, les gifles, les coups de poings ou de pieds, tout y passe, même à vingt-sept ans.
02 —  ddol mi à peur du noir, lui même en a honte, un homme ne devrait pas avoir une peur d’enfant. mais lorsqu’il se retrouve plonger dans l’obscurité, l’angoisse monte, il suffoque, panique, les sueurs froides arrivent, et devient parano ; il entend comme des bruits de pas, ceux de sa mère, des pas titubant puis un coup sec de ceinture claquant contre une peau amochés, des pleurs étouffer. il ne supporte pas l’obscurité, il a besoin d’une veilleuse sans quoi les terreurs nocturnes et l’angoisse auront raison de lui. d’ailleurs sa vielleuse c’est sa petite sœur qui lui a offerte, consciente de sa peur panique du noir à cause de leur mère. une façon pour elle de le soutenir.  
03 — la musique comme refuse, mais il n’a absolument aucun talent. Plus jeune, il voulait faire de la guitare, il avait une piètre oreille et il est incapable d’apprendre le solfège, il ne sait pas démonter le petit ddol min et à essayer d’autre instrument, mais cela revenait au même, un massacre auditif. c’est donc tout naturellement qu’il s’est tourné vers le métier de luthier, une façon d’être à proximité de la musique quotidiennement. d’ailleurs il aime énormément les spectacles de rues en plus d’être gratuit, la qualité est au rendez-vous.
04 — une famille brisé, voilà à quoi ressemble la famille do depuis plusieurs mois. son père, un gérant de deux restaurants à fini en prison pour quelque chose qu’il n’a pas commit. ddol mi à assister à cela impuissant. son père, cet homme droit et fière s’est retrouvé accusé d’empoisonner ses clients avec de la viande de mauvaise qualité, foutaise. mais ça les procureurs ont pas voulu en entendre parler. d’ailleurs le soir même, alors que son père allait passer sa première nuit en cellule, il croisa l’ordure de fournisseur qui buvait un coup au détour d’un bar huppé de séoul. le monde est pourrit.  
05 — perdu, avec cette histoire, la famille do à tout perdu, leur maigre de prestige, leur agent, leur dignité, leur fierté. tout à était balayer d’un revers de main sans se soucier d’eux. il revoit encore le rire gras de ses hommes d’affaires et des procureurs. parfois il en fait même des cauchemars. il a un besoin viscérale de rendre justice à son père, il a besoin de le venger, de redorer le nom des do et de les faire souffrir comme lui il souffre. il se sent s’enfoncer dans une spirale sans fin, il chute, s’engloutit dans les ténèbres, se perd lui-même en planifiant sa vengeance sur le couple parfait qu’est si yeon et hea.
06 — c’est honteusement qu’il avoue être fan des séries pour midinettes, des romances à l’eau de rose, qui lui donnent du baume au coeur. dans ses séries, tout est toujours facile finalement, car ils s’attachent les uns aux autres malgré tout, ddol min est incapable de ça, incapable de s’attacher. il se refuse de souffrir, ou d’aimer les mauvaises personnes. alors il remplit son cœur de romance à travers l'écran et oublie de vivre ses propres romances.  
07 — ddol mi, sa petite sœur, son ange, sa princesse, sa prunelle, pour elle, il est prêt à tout. Il l’a toujours protéger de sa mère, des coups, de cette violence. son rayon de soleil, sa lueur d’espoir dans ce tunnel sans fond. il regrette de ne pouvoir lui offrir plus aujourd’hui. mais son sourire est sa dose d’anti-douleurs quotidienne. grand frère surprotecteur, il voit ddol mi comme une sainte pure et innocente.
08 — le huit est son chiffre fétiche, sans aucune raison. il aime la simplicité de ce chiffre, cette rondeur, puis il représente le symbole de l’infinité également. c’est stupide, mais cela fait partie de son charme.
09 — il ne sait pas cuisiner, il trouve que cela est une perte de temps considérable. et bien souvent il oublie de manger lorsque personne n’est là pour lui dire. parfois lorsqu’il fait des efforts, il fait du riz avec du kimchi, mais ça n’ira pas plus loin. le tout fait est sa spécialité.
10 — il a les mains abîmaient dû à son métier, il oublie souvent d’en prendre soins d’ailleurs. sa sœur à beau lui mettre le tube de crème sous le nez, il est incapable d’y pensée par lui-même.