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Nam Jeno
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— emménagement le :
11/04/2018
— courriers :
1923
— autres comptes :
siwan le fou. [☆] vinh le mécano.
— âge :
vingt-quatre années à faire l'enculé.
— occupation :
héritier de la famille nam en faisant un coup de pute à son frère, model, instagramer.
— côté cœur :
l'autopsie de son cœur révèle un poster de la tête de hua.
— résidence :
la meilleure résidence aka la résidence quartz, jeno il a pas votre temps.
— logement n° :
villa wisteria, numéro q003.
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sailor mars
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┅ medulla oblongata; hua.   ┅ medulla oblongata; hua. Empty Lun 30 Avr - 5:37
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l'astre du jour au zénith, la silhouette embrassée par l'aura printanière, de légères brises emportant en arrière ses mèches longues ; météo heureuse pour une humeur malheureuse. du dernier étage de la résidence, corps appuyé contre la balustrade parant le toit aménagé, ses prunelles ébènes balayent de façon absente le paysage en face de lui. séoul et ses multiples gratte-ciels se dessinant à l'horizon ne sont qu'en second plan, son entière attention est absorbée par ses songes. mélancolie, nostalgie, l'organe dans sa poitrine se serre, jour de deuil, bientôt vingt-ans qu'ils sont partis, tellement de temps passé que les images de ses deux géniteurs se brouillent dans son esprit comme un film d'époque à la cassette abîmée. mais les sentiments, eux, restent éternellement, leur douceur, leur chaleur, sensations qui perdurent, inoubliables, faisant presque perler ses yeux. tout lui manque terriblement, seulement cinq années d'existence quand on lui a annoncé, cette nouvelle. véritable effondrement émotionnel, jeno fut anéanti. si elle n'avait pas été là, probablement les aurait-il rejoint dans son désespoir. réconfort, mots consolateurs, hua, la seule qui a vu ses larmes, soigné son cœur meurtri, elle a été sa lumière dans ces années sombres. idées noires vaincues, hua devint son pilier, sa pilule d'allégresse, de confiance, jeno avait besoin d'elle. ils étaient proches, peut-être trop, en grandissant, tout a commencé à se bouleverser en lui. besoin, désir, il a voulu plus ; fatale erreur, hua l'a rejeté. incompréhension, déplaisir, le gosse gâté à qui on ne disait jamais non n'a pu empêcher la frustration de s'attaquer à lui. pourquoi? n'était-il pas assez bien, cette façon d'agir comme si de rien était, comme si ses mots étaient insensés, représentait-il rien pour elle? entêtement, il a forcé les choses, la claque est partie, et hua (l')a fui. séparé de son pilier, son orgueil et ses sentiments piétinés, jeno a cessé de mettre une limite à sa mauvaiseté. sournoiserie, perfidie, effronterie, hypocrisie, les rumeurs n'ont eu de cesse de gagner en ampleur. mais elle est revenue, hua, dans la même résidence, destin ironique qui semble la mettre dans son chemin. mais rien a changé, depuis deux années, si ce n'est ce clébard qui lui sert de mec lui tournant autour. la jalousie le dévore et ne lui donne que plus envie de l'avoir. elle l'obsède, et elle l'évite, c'est évident, peur mais surtout dégoût sont distinguables sur ses traits ; les rumeurs sont certainement venues à elle. les minutes passent, lentement, douloureusement, se remémorer le passé, le présent, ne lui apporte que tristesse et amertume. contrarié, jeno sort son paquet de cloques de sa poche, en attrape une entre ses doigts, ainsi que son zippo rouge. il tire quelques bouffées sur sa cigarette qui suffisent à le détendre en un instant, rejetant la fumée blanche vers le ciel sans nuage. mais le chagrin lui ne part pas, il leur apportera ce soir des roses écrues. jeno est dérangé par le bruit de la porte du toit s'ouvrant, naturellement intrigué, il se retourne pour reconnaître... la dernière qu'il a envie de voir aujourd'hui. il croise à peine son regard, retournant la seconde après son visage vers la scène précédente. jeno se concentre sur sa clope, sentant l’âcreté revenir à lui. mais il entend ses pas, se rapprocher, un sourire mauvais se dessine sur ses lèvres. « j'espère que tu n'as pas dans l'idée de me réconforter. »
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Re: ┅ medulla oblongata; hua.   ┅ medulla oblongata; hua. Empty Mar 1 Mai - 5:24
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Si miséricorde pouvait être accordée aux âmes destructives, elle ferait en sorte que celle-ci ait lieu auprès de l'être origine de l'énième discorde l'ayant poussée à exprimer son refus de coopérer; contrer les volontés de la bête à détourner la belle de son nid familier, là où obscures raisons la retenaient de se laisser emporter au cœur de l'insaisissable tempête donnant un sens grotesque à sa futile existence. Elle ne ressentait rien de supérieur au néant pulsant en son battant, si ce n'est que l'imposant désir de revigorer la clarté pluvieuse plongeant son faciès originellement sculpté dans la porcelaine au plein cœur d'un état négligé, les flots se formant au bord de ses yeux. Et grande fut sa surprise lorsque, après avoir gravi les marches menant au point culminant de la bâtisse animée par tant d'âmes égarées, sa vision se trouva troublée par la silhouette hantant ses songes... Sa silhouette. Celle peignant l'ombre au tableau, le voile grisâtre l'enveloppant d'une aura étant si brumeuse que l'on pourrait presque ne guère distinguer le vaste panorama azur dont les cieux s'étaient vêtus aujourd'hui. « J'espère que tu n'as pas dans l'idée de me réconforter. » Elle aurait tant souhaité que ses pulsions ne soient que passagères; que le chaperon ne s'abandonne pas dans la gueule du loup et puisse se détourner vers l'ignorance, ne demeurer que pauvre sotte, n'aspirer qu'à balayer l'envie incommensurable de se joindre à lui, et ainsi ne jamais faire figure de la parfaite proie. Mais peut-être logeait-il en Hua que la tentation suprême de se laisser charmer par le vice, et faire écho à des rires enfantins dorénavant bien plus lointains. Et c'est ainsi que la mortelle s'aventurait auprès de ce qui causerait sa perte, un jour, ou l'autre. Les pupilles vaguant vers des points imprécis, dilatés par l'immonde immaculée de nicotine se faufilant au détroit de la gorge du garçon à ses côtés. « Je ne savais pas que tu fumais. » Après tout, qu'il y avait-il d'autre dont elle n'avait aucunement conscience ? La fameuse date du trente avril n'en faisait définitivement pas partie, bien au contraire. Elle était maintenant ravagée par le piètre souvenir d'un innocent enfant projetant son désespoir en direction de l'au-delà dont une potentielle existence n'était même pas certifiée, et de sa propre image, ternie par la violence du temps qui passe, petite fille sage aux mains assez grandes pour cueillir les perles amères du condamné. « Je n'ai jamais cessé de penser à ce qu'il s'est passé... A ce que ce jour représente. » Et je n'ai jamais cessé de penser à toi. La pauvre n'était définitivement plus à sauver. Elle n'était plus assez lucide afin de revenir sur ses pas, fuir, comme elle le faisait si bien. L'idiote n'était certainement pas dupe; le goût de la chair entraînait le mal-aimé à se réfugier au sein de l'immense douceur que prodiguait le corps de chaque muse, semblable aux folies éphémères de Zeus, elle ne serait certainement rien de plus que l'énième paire de lippes desquelles le jeune volage viendrait désespérément s'abreuver. Mais il y avait le tourment fidèle à la passion fiévreuse, celle animant les êtres les plus détestables, lui faisant espérer que peut-être, peut-être... « Jeno... » Cela faisait comme une éternité que ses lèvres ne s'étaient plus écorchées à cette simple sonorité. Son épiderme pourtant chaste, délavée d'une quelconque obscénité, se voyait agressée sous la pression de ses longs ongles s'y plantant anxieusement. « Jamais tout cela n'a quitté mes pensées. Pas même une seule seconde. Pas même alors que je suis partie, loin de tout ça. »
Et le manque de ta personne n'est qu'un poids de plus à ce schéma utopique. 
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Nam Jeno
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Re: ┅ medulla oblongata; hua.   ┅ medulla oblongata; hua. Empty Lun 7 Mai - 9:07
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effervescence dans son esprit écorché, contraction du palpant dans sa poitrine, et la fumée de sa cigarette entamée pénètre péniblement ses poumons intoxiqués en constatant sa faible persistance. « je ne savais pas que tu fumais. » ses doigts longs se resserrent avec hargne sur le cylindre opalin, le brisant en deux, tabac s'échappant par terre et emporté par les brises existantes. rongé par le fiel, ses fines lèvres continuent d'être emprisonnées dans ce rictus malévole ; comment pourrait-elle avoir connaissance d'une chose aussi futile quand elle ne condescende pas même à lui accorder un seul regard. ce passé qu'ils partagent qu'elle se plait à feindre inexistant, leurs rires enfantins qui ne sont plus qu'un disque rayé à présent. « je n'ai jamais cessé de penser à ce qu'il s'est passé... à ce que ce jour représente. » qu'elle se taise, ses vocables ne sont que des épines à son cœur lacéré, et sa voix, fantaisie enchanteresse sonnant à son ouïe comme un chant de melpomène. ses affres ordinaires le malmènent que plus en cet instant, tourmenté par le désir de croire en ses paroles désolantes quand il se persuade que seul l'hypocrisie s'y cache, n'arrivant à trouver une explication sensée entre ses actes lâches et ses mots cruels. ses paumes qui s’abîment contre la balustrade dont il dépend pour ne pas écumer son ressentiment envers elle. « jeno... » crève-cœur, le supplice encaissé à l'entente de son prénom entre ses lèvres rosées, ramené à ces années heureuses valsées ensemble. bonheur éphémère mené à terme par sa muse, départ impardonnable causé par ses affections égoïstes qu'il n'a point pu, ne peut, et ne pourra, dompter ; que veut-elle de lui quand il désire tout lui offrir. un refus qu'elle s'entête à lui imposer sans qu'il n'arrive à comprendre, incompréhension qui le mène à la débauche, l'irrévérence, l'orgueil blessé se condamnant au péché de la chaire pour châtier et se réparer ; un égarement sans fin. « jamais tout cela n'a quitté mes pensées. pas même une seule seconde. pas même alors que je suis partie, loin de tout ça. » et l'incapacité de se refréner, le sentiment irréprimable que tout n'est qu'un jeu pour elle afin qu'il ne soit plus que le fils de mania. il se retourne la confrontant, elle, la malheureuse élue de ses passions insolentes. expression méprisante, sourire cynique, faciès épuisé par l'intensité de ses propres émotions, l'organe pulsatile fidèle à lui-même, traître faiblissant face aux traits de sa reine vénusienne mais qui ne fait qu'aggraver la rancœur actuelle s’enchaînant à lui. « si tu pensais réellement ce que tu disais, tu serais pas partie, impossible. »  le rire faux qui ponctue sa phrase, flot de paroles sur lequel il ne détient plus de contrôle. « si tout était vrai, pourquoi être partie sans un mot, surtout sans me donner la moindre foutue nouvelle. » le rire qui cesse, l'érèbe manié par la colère, la voix stentorienne qui ruine ses chances de conversation canonique. « t'as pas honte de me dire ça, » secondes lentes, le silence lourd, légère inspiration, comme si les trois lettres étaient un poison à ses lippes « hua. » prunelles guettant la moindre réaction, la nymphe n'a encore pas fui, simplement mirifique pour lui. sa voix reprenant ce calme insoutenable. « si tu tenais un minimum à moi comme tu le sous-entends, t'aurais pas agi ainsi, tu m'aurais pas laissé seul comme ça, quand tu me connais si bien. » constat qui ne l'assombrit que plus, l’âpre ambition qui prendrait presque le dessus sur son affection. « et ma question restera sans réponse, car c'est toujours comme ça avec toi, hua. » et dans cette provocation la seule envie de la voir se trahir.
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Re: ┅ medulla oblongata; hua.   ┅ medulla oblongata; hua. Empty Ven 11 Mai - 19:39
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Comment était-ce humainement possible de décliner les vestiges d'un passé commun s’éparpillant en plein dans ses veines cérébrales, mimant l'exaspérant mécanisme d'une boîte à musique d'antan n'était là que pour faire endurer les mêmes notes d'une mélodie mélancolique. Le tournant d'une vie amère, façonnée de sorte à ce que tous feuilletons légèrement édulcorés pourraient se l'approprier; femme libre, dans le temps, perturbée par l’interférence de ses sentiments la déstabilisant lorsque la Bête surgissait hors de la pénombre. L'attachement trompeur porté à l'encontre de ses racines liées à lui, que la sonorité accablante assimilée à son grain de voix remémorait sans cesse. Peut-être était-ce la source du conflit la tourmentant de l'intérieur, la faisant suffoquer, pour mieux imposer à son sein tout le poids se traduisant en une douleur aiguë. « Honte ? » La candeur qui régnait sur son faciès tant adulé n'était dorénavant que vague souvenir. Celui-ci n'était plus que le fruit d'une expression crispée synonyme à l'incompréhension submergeant la malheureuse, souhaitant déterrer ne serait-ce qu'une once de familiarité susceptible de se dissimuler au sein des profondeurs abyssales se reflétant dans les optiques du garçon... Mais dans ses yeux ne pouvait s'apercevoir que l'amertume qui le consume. « Honte d'avoir été obligée de suivre ma mère dans une ville que je connaissais à peine, tout ça pour fuir ? » Elle ne savait plus ce qui était en mesure d'affliger des vertiges à son métabolisme; les dires démesurés qu'il manipulait avec tant d'agilité ou encore sa bouche, qui contait ses mémoires. Celles qui n'étaient supposées qu'appartenir à un ancien temps, empli de ses déboires éméchés et sanglots que la fille avait eu tant de mal à faire taire. « Si tu avais été plus attentif au moins une fois, une seule fois... Tu saurais pourquoi j'ai jamais vraiment eu le choix. » Et parmi le chaos envahissant, il n'y avait que lui et sa carrure qui se dressait face à l'astre roi se hissant à l'horizon afin de couronner les cieux, source d'un contraste apte à aveugler ses sens. « Mais j'ai tellement focalisé toute mon énergie à porter ta peine, et celle de ta sœur qui, au moins, prenait la peine de m'écouter pendant toutes ces années – qu'au final, tu faisais pas réellement attention à ce que moi j'endurais. » Et pour la première fois depuis les éclats ayant transpercé leur entente, elle le vit, lui et la façon dont ses cheveux d'ombre tissaient des lianes autour de sa nuque, puis toute l'immensité de sa peine qui rongeait les esquisses anguleux de son visage meurtri par un cruel manque de répit évident et dont les auréoles bleutées habillant ses bordures pouvaient témoigner. De par sa curiosité maladive, elle l'observait, jusqu'à ce que cela face office de véritable damnation, la poussant à se focaliser sur les tonalités monotones que ses pieds surplombaient. « T'as jamais été le seul à avoir perdu quelque chose de cher, Jeno. T'es juste trop égoïste pour t'en rendre compte. » Devant toute la naïveté dont elle faisait preuve, se peignait le tableau de l'Inconnu qui la tourmentait tant. Il n'y avait plus les échos, réminiscence de leurs folies vagabondes autrefois partagées, seulement le cri interne du désespoir qui résidait en sa personne, fragile et sotte. Hua se persuadait de n'être que l'infortunée captive de Morphée auprès duquel s'abandonner à genoux semblait être l'unique solution permettant d'émerger de son cauchemar possédant un semblant d'éternité. « Et si tu te demandes encore pourquoi j'ai passé tout ce temps à t'éviter... Tu vois bien que les choses ne seront plus jamais simples entre nous. Alors oublie-moi, une bonne fois pour toutes et j'en ferai de même. Ça devrait pas être si compliqué pour toi apparemment. » Mais de la brutalité imbibant l’âcreté de ses paroles, se forgeait le portrait d'une mécréante se condamnant à offrir un songe singulier à l'égard des plaisirs aux courbes féminines que le Don Juan s'octroyait, comblant ainsi les vices qui pouvaient peupler ses pulsions charnelles. Tiraillée par sa propre ironie, et tout le dégoût que les murmures émanant des langues de vipères avaient pu nourrir en son être.
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Re: ┅ medulla oblongata; hua.   ┅ medulla oblongata; hua. Empty Jeu 31 Mai - 7:01
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décontenance indubitable de la désirée, la pièce qui s’effondre sur l'échiquier imaginé. l'art de manipuler les paroles, et le voilà son cœur qui déborde sous ces accusations accablantes. « honte ? » ce trouble perceptible en elle provoquant une étrange satisfaction dans l'amertume qui l'emprisonne. « honte d'avoir été obligée de suivre ma mère dans une ville que je connaissais à peine, tout ça pour fuir ? » déversement d'émotions pressenti par son jeu précédent, la provocation son arme de prédilection, mais des mots qui ne sont d'aucune surprise pour lui, la cause de trop nombreuses spéculations qui ont envahies son esprit ulcéré des années. « si tu avais été plus attentif au moins une fois, une seule fois... tu saurais pourquoi j'ai jamais vraiment eu le choix. » les commissures de ses fines lèvres qu'il s'empêche d'étendre dans un rictus sardonique. l'envie de la mépriser qu'un peu plus s'accrochant avec brutalité à sa personne. « t'as jamais été le seul à avoir perdu quelque chose de cher, jeno. t'es juste trop égoïste pour t'en rendre compte. » l'incapacité notoire à être réceptif à son flot peiné, que des agressions insidieuses à ses yeux continuant de cristalliser l'acrimonie l'habitant.  « et si tu te demandes encore pourquoi j'ai passé tout ce temps à t'éviter... tu vois bien que les choses ne seront plus jamais simples entre nous. alors oublie-moi, une bonne fois pour toutes et j'en ferai de même. ça devrait pas être si compliqué pour toi apparemment. » lourd silence qu'il laisse sciemment planer, plus aucun désir de rire, l'inimitié stimulant l'organe dans sa poitrine atteignant son point culminant, le film de leur passé se tordant dans une stridence insupportable. il porte ses regards sur la muse déloyale, prunelles venimées, le ressenti accumulé depuis tout ce temps éternisant la rudesse à ses lippes. « égoïste moi? quand t'as toujours tout refusé de me dire? quand la seule chose que t'as faite depuis deux années c'est me fuir? » la cruauté qui s'invite durement à la partie, se sentant humilié par de tels propos saillis d’insensibilité quand ses pensées entières lui sont dédiées et ses actes continuellement liés à sa vénus inconsciemment. « est-ce réellement de ma faute si tu ne me dis rien, comment suis-je supposé deviner tes problèmes exactement? » l'impassibilité qui se pointe d'ironie, les traits de son faciès peignant l’insolence. basculant sa longue silhouette jusque-là appuyée contre la balustrade, l'aura se dessine autour, inquiétante. il se redresse, jamais sans quitter du regard celle harcelant pernicieusement son palpant, longue chevelure dansant dans le vent. « et t'oublier hein, comme si j'avais pas passé ces six dernières années à devenir fou à cause de toi. » ce sourire mauvais se réinvitant sombrement à son visage sépulcral, il s'avance, lentement, prolongeant sévèrement cette narration déroutante. « c'est vraiment ça que tu veux? que je t'oublie? comme si j'avais pas déjà essayé? » cadence de pas comminatoire, le sarcasme valsant avec l'irritation et l'éréthisme dans ses fausses interrogations. et il arrive devant elle, centimètres séparant leurs êtres chamboulés. « mais tes mots manquent de sincérité hua, ton regard te trahit. » perfidie évidente et réelle présomption dans ses gestes et vocables. en la sentant statufiée, naturellement, tout en poursuivant cette nocive sérénade, « si tu penses que je ne te connais pas depuis tout ce temps, il pose délicatement son doigt sur sa pommette rosée, dessinant une forme illusoire, se délectant du touché soyeux, glisse le long de sa joue laineuse, c'est vraiment mal me connaitre. », se rapprochant dangereusement du coin de son cœur amarante, et caresse lentement le bord de ses lèvres tentatrices sur lesquelles il rêve de poser réels baisers depuis si longtemps, testant insolemment les limites de l'élue de ce cœur détraqué.
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Re: ┅ medulla oblongata; hua.   ┅ medulla oblongata; hua. Empty Sam 2 Juin - 2:17
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medulla oblongata
Les mirages ayant hanté ses pensées d'antan prenaient alors une grotesque forme, l'univers cauchemardesque qui se bouscule à la voluptueuse douceur de ses fantasmes puériles. Gamine inconsciente au cœur qui vacillait subitement  lorsqu'il s'emparait égoïstement de son équilibre, souillant alors la pureté de ses traits féminins au travers de propos malins et à la cruauté sans relâche. Outrage, menace sans précédent. Et alors que le diablotin dérobait toute once de conscience étant susceptible d'animer sa victime, la malheureuse se voyait scruter la finesse sculptant le faciès du garçon, venant même à imager la ferveur au gré de laquelle leurs lippes pourraient désespérément valser ensemble; l'ironie d'une réalité lui échappant entre les doigts, éveillée par la fatalité dont tous deux souffriraient certainement. « Ne me touche pas. Surtout pas. » Elle se libéra finalement de son emprise, grâce à une force superficielle exercée sur le torse de son vis-à-vis, bien qu'émerger de son îlot onirique fut épuisant. Elle paraissant ridicule, là, face à lui. Apeurée par l'immensité de ses sentiments encombrant son intérieur chaotique, craintive face à la brutalité se mêlant à l'indéniable tendresse envoûtante de ses gestes. Combien de corps agiles avait-il frôlé de cette manière lorsque ses draps se froissaient aux sons de ses folies charnelles et passagères ? « Je veux bien croire que tu sois devenu fou à tel point que je ne puisse même plus te reconnaître. » Constat sans précédent, qui lui léguait par ailleurs des relents amers au creux de sa gorge rougie par l'envie de déverser sa rancœur l'abîmant. Jeno ne possédait plus la chaleur qui auparavant, s'émanait de son vivant, ni la lueur ayant pu parsemer de constellations les abysses noyant son regard. Celui-ci n'était que l'antagoniste au plein centre de cette tragédie humaine, aux mauvais airs de conception théâtrale infortunée. « Tu peux te jouer des traînées que tu fréquentes du matin au soir... Mais pas de moi. On est plus des enfants, Jeno. J'aimerais que les choses soient simples et qu'on reparte de zéro, mais toi ? Tu ne fais que tout gâcher un peu plus chaque jour. La preuve, tu oses dire que je n'accorde plus d'importance à ce que ce jour représente alors que j'ai toujours été là pour toi ? » Et au sein de son esprit malmené, se déployait le visuel d'un dessein utopique. Porté au vent par ses illusions éphémères que la raison condamnait. Comment pourrait-il lui être exclusif s'il appartenait au monde ? C'est le rationnel qui vint ensuite déteindre sur ses songes, simple retour à la réalité. « Je sais ce que tu veux... Mais je ne peux pas Jeno. Je ne peux pas nous permettre de nous détruire plus que ce n'est déjà le cas. Car je tiens à toi, et... » Pauvre mortelle que l'on retrouverait bien trop tôt face à l'inévitable gouffre que ses propos soufflés comme si ceux-là n'étaient rien d'autre que honteux provoqueraient. Pointant lâchement du doigt les vices le consumant, sans attendre quelconque compassion en retour. Et cette situation dénuée de sens; protagoniste naïve à la volonté presque héroïque, souhaitant ramener le perdu à la raison, guider son âme perdue grâce à l'écho de sa passion éperdue. « Si tu penses réellement que je n'ai jamais été à la hauteur, j'en suis sincèrement désolée. » L'orgueil dont il semblait épris ne l'atteignait aucunement, elle, dont les vocales ne renfermaient aucune sonorité colérique. C'est le sentiment de lassitude qui l'enveloppa, épuisée de combattre l'incertitude de chacun et le mal-être poussant leurs liens à la dérive. Fuir, une énième fois, était vraisemblablement la seule issue à ce calvaire incessant. Le semblant d'un sourire dévasté par l'humiliation courbant les extrémités de sa bouche encore marquée par son précédent toucher, et le mécanisme de son corps qui engendrerait l'évasion.
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