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| (m) libre ★ min yoongi  Mar 5 Juin - 20:12 carte d'identité nom, prénom, surnom au choix, seulement je voudrais un pseudo assez coréen voire chinois. date de naissance, âge vingt-quatre ans, ou vingt-trois, il oublie les années à force de gober les allumettes au lieu de les allumer. lieu de naissance, origines coréen pur (peut-être des origines lointaines chinoises), aucun artifice pour un hometown boy. statut civil, orientation au choix, l'ex d'un cadavre. métier, études, occupation à peine sortie d'une cure de désintox, les mains dans les poches, il tente de boucher ses oreilles aux chants des sirènes lugubres de ses addictions passées...tente de s'occuper l'esprit à faire des jobs minables et en être aussitôt viré pour son attitude de détraqué (travaille actuellement dans une station de gaz). statut monétaire, classe sociale pauvre. tocs, manies, hobbies toujours quelque-chose dans la bouche, que ce soit une clope, un chewing-gum, un cure-dent, un stylo, une sucette, tout pour distraire ses lèvres d'embrasser les bouteilles et autres mégots magiques. le tic de renifler assez fort de manière soudaine, un fossile de ses années cocaïnées. le besoin d'être désagréable avec les gens, vulgaire et les emmerder...puis regretter de sans cesse les repousser. le reste au choix. style, tatouages, piercings au choix. Un style assez messy tout de même, pour rappeler le fait qu'il fut un junkie. phobie, secret, rêve ex-junkie ayant assisté à l'overdose de sa petite-amie de l'époque, il déteste cette partie de lui, de son histoire, ne peut néanmoins effacer l'envie de replonger dans les mêmes abysses. min yoongi ou kim namjoon. profil apparent du patient : calme ; vulgaire ; nostalgique ; ayant des tendances d'autodestruction ; froid ; mature ; jaloux ; égoïste ; insomniaque ; une attirance pour la mélancolie ; des excès de violence de temps à autre, surement pour camoufler le fait qu'il soit incertain, inquiet et peu sûr ; volontaire ; désintéressé à la fois l'histoire est assez libre, je veux seulement qu'il soit de séoul, n'ait pas bougé de séoul ou du moins de corée. Son adolescence et la première partie de sa vingtaine se résume à des mauvais choix, de mauvaises tournures, un addiction pour la drogue et l'alcool, un environnement peu sain qu'il a "choisi" malgré les dires et les conseils de sa mère, à qui il a fait ainsi honte. Il s'en veut énormément de l'avoir déçu, de ne pas avoir été un bon fils et espère pouvoir lui prouver qu'il peut encore être un "somebody" au lieu de ce "nobody". Junkie donc, qui a eu une relation avec une ex-taularde...qui est morte d'overdose. C'est cette mort qui l'a secoué et l'a poussé à se porter volontaire pour une cure de désintox. Il est à présent "sober" depuis quelques mois mais la réinsertion demeure dure et son état mental reste fragile. C'est en Micha qu'il trouve un appui psychologique, une sorte de bouée...un psychologue, et lui-même lui sert également de thérapeute. |  |
 | byun micha | feat. jung jungkook dans l'intimité de la nuit, les murmures prospèrent, s'échangeant dans des bouffées de chaleur, des hauts-le-cœur légers, de faibles sourires s'empourprant de froid. Il y avait la facilité des mots qui découlaient de leurs bouches, face à un visage comblé de noir, auprès d'une silhouette qui s'oubliait avec les rêves...s'effaçait avec la brume des aubes difficiles, étranges et étrangères. Il y avait la chute de la température juste avant que le soleil ne s'éveille contre leurs joues pâles, juste avant qu'ils s'envolent, oiseaux nocturnes, vers des horizons divergents. Différents et pourtant si semblables. Ils s'étaient connus entre des songes et des confidences, quelque-part dans une minute floue entre la réalité et le vagabondage des sentiments, de l'exhaussement de porter autant de poids sur de si frêles épaules. Cela faisait du bien de parler de choses qu'on regretterait plus tard, lorsque la journée serait parfaitement entamée. Cela était drôle de rire de choses tristes avec un fantôme inconnu, hantant les toits à la lueur de la lune. Juste une de ces ombres à qui l'on déversait sans honte les odes à nos coups et blessures, aux fentes de notre âme et à toutes ces conneries que l'on voulait éviter...
Restart.
Chaque nuit, un nouveau secret dévoilé.
Rewind.
Chaque nuit l'impression de reparler à son reflet.
Reset.
A la lumière de leurs idéaux, ils égorgeaient leur passé respectif, embaumaient les cadavres, versaient quelques larmes s'il le fallait, puis enterraient les résidus de leur terrible meurtre. Commis envers ces monstres, ces furieux démons, qui abusaient et abusent de leur personne, qui les font paniquer, qui les mords, qui les harcèlent...cette addiction horrible, ce décès brutal.
Ces dépressions entremêlées. |
kwon ivar | feat. kim taehyung l’incompréhension qui prend place lorsqu'ils se demandent comment ils ont réussi à accepter l'autre dans leurs vies tragique. le hasard qui joue de manière mesquine, taquine les astres et font rencontrer les deux idiots lors d'une soirée à l'allure malsaine. par l’intermédiaire d'une succube, ils se découvrent et bizarrement ça accroche directement ; car ils le savent, ils l'ont compris dès le premier coup d'oeil. ils étaient spéciaux, ils étaient suicidaires et l'auto-destruction était ce qui les faisait avancer.
ça tourne pas rond, encore mois que d'habitude.
c'est les quatre cent coup effectués ensemble, ces soirées enchaînées, ces rigolades que seuls eux ; connaissent. ce duo infernal. ils avancent ensemble, se plaisent dans leur destruction, physique et psychologique. puis la tragédie qui frappe.
la mort qui se pointe,
réclame la nymphe qui reliait les gamins des enfers.
et c'est plus que des cendres, plus que des souvenirs. ça fait mal, ça prend le coeur et pourtant, ils réussissent à se retrouver pour pleurer comme des chiots ou pour se cracher leur poison dans un élan de désespoir. mais ça rassure, car dans les cris, dans les paroles rassurantes ou blessantes, ça prouve que l'un comme l'autre n'arrive pas à s'abandonner de la présence de l'autre.
mais le temps n'attend personne.
il fait des miracles mais aussi des dégâts, le métisse qui voit sa vie se propulser en haut de l'échelle, les contrats qui se signent, l'argent qui afflue mais, surtout ; le meilleur ami qui s'éloigne, celui qui ne devient plus que souvenir, prend son envol. ils ne sont presque plus vu ensemble et les photos - débris d'une amitié décadente, prennent poussière. le lien qui reste cependant, contre toute attente ; fusionnel car quoi qu'il arrive, que ce soit après un mois, ou six. si l'un réclame l'attention de l'autre : il l'obtient. gamins égoïstes qui se sont empreint de l'un et l'autre. alors lorsque la tempête menace de foutre en l'air leurs êtres, ils savent que l'autre sera la chaleur qui estompera le vent glacial de leurs âmes. |  |
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