ready for adoption!! (( xiao lu ))

huang xiao lu ≈ chen zhifeng

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ils sont déjà venus ici il y a une semaine avec l’envie de regarder, au début. C’était juste pour ça, à gagatiser devant les chiots et les chatons, même les petits lapins enfermés. Et zhifend a souvent émis l’idée de tous les adopter – leurs deux familles réunis ont d’assez grands terrains. Pas vraiment sérieux cela dit jusqu’à ce que leurs cœurs se saisissent d’un regard intense, deux grands yeux bleus et curieux. Sa patte levée contre la vitre quelquefois et les deux gamins ont plongé leur main en même temps, se disputant la place. Puis il y a eu un silence, un de ceux qui parlent à notre place quand d’un regard, ils se sont compris. la somme partagée dans tous les cas, l’achat reste trop important pour être ignoré et ils sont revenus déterminés. une garantie devait être donnée à l’animalerie, une autorisation pour que ces deux gosses puissent emporter une boule de fourrure d’une valeur inestimée. et dans son impatience devant le vendeur, qui vérifie tout au mot près, zhifeng verrouille sa main à celle de son meilleur ami pour s’empêcher de râler. « on devrait lui acheter un panier… non ? » ils ont déjà prévu le nécessaire en nourriture et autres trucs, comme un couple avec un enfant à naître, mais pas ça. « on est d’accord… qu’elle dormira dans ma chambre ? » dit-il à moitié sérieux, à moitié taquin. bien sûr, la belle dormira où elle veut et ce ne sera ni à lui, ni à lu de le décider. « on doit lui trouver un nom aussi. pearl ? praline ? snow. i don’t know. i’ll trust you and your cute self to find the right name for her. » puis le moment venu, il le tire doucement pour suivre le vendeur qui changera leur quotidien. en espérant qu’ils savent ce qu’ils font.

huang xiao lu ≈ chen zhifeng

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Comme un parent attendant la venue d’un enfant. Xiao Lu de l’affection à revendre. Et un être adorable ayant trouvé grâce à ses yeux, à leurs yeux. Chaton adorable découvert tandis qu’il se perdait dans les allées de l’animalerie, leurs mains allant se disputer un peu d’attention du félin, celui-ci ayant décidé pour eux, tête qui bute contre leur paume, dos qui épouse la forme de la main, ronronnement vite entendu. Et les deux jeunes qui se regardent, un air complice. C’était lui et pas un autre. Pourtant si les deux jeunes étaient déjà prêts à l’emmener une semaine avant, un obstacle de taille. Aussi bien lui que Zhifeng n’étaient pas majeurs. Besoin de la signature des parents pour pouvoir ramener cet amour à la maison. Et voilà que Xiao Lu prend les devants, téléphone à sa mère, caprice, de ceux qui ne passent jamais ses lèvres. Et sans doute qu’elle le sait sa mère, accepte sans souci la présence d’un animal, sourire tendre qui s’entend dans sa voix tandis qu’elle promet d’envoyer les autorisations. Maman qui envoie même de l’argent sur le compte de son fils. L’impression que ce chaton pourrait enlever cette solitude triste qui pèse sur les épaules du petit prince. Les papiers donnés, une semaine plus tard ils sont de retour devant ce comptoir, l’employer qui leur jette des regards par dessus ses lunettes, Lu, angoissé qu’on leur refuse leur merveille, déjà soulagé qu’on l’ait enlevé de l’adoption en attendant leur retour. Main de Zhifeng qui s’est glissée dans la sienne et qu’il serre, il l’écoute parler ses yeux n’osant pas se détourner de l’homme la crainte qu’il y ait un problème. « Un panier … Un immense arbre à chat aussi … On pourra le mettre dans le salon … Et elle ne dort pas dans les chambres … En tout cas pas dans la tienne. » Il lui tire la langue bon enfant, bien conscient que la princesse sera gâtée quoi qu’il arrive, déjà sûr qu’ils n’auront aucune autorité. « Hm … Milk ! Milk Tea. » Le nom anglais passe ses lèvres comme une évidence, son regard se posant sur son meilleur ami, une moue suppliante pour qu’il accepte. Les papiers finalement en règle, c’est les mains moites qu’ils vont chercher la petite féline écoutant d’un air attentif les informations sur la belle. Chatte minuet, croisement entre un persan et un munchkin, qui semble plus que ravie de les voir arriver, ses pattes déjà contre la vitre de son caisson à l’arrière, queue touffue qui se remue, adorable créature ne demandant qu’à être caressée. « Tu la prends … Ou moi ? »

huang xiao lu ≈ chen zhifeng

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il se sentirait presque adulte, presque responsable à l’idée d’adopter un chat. il se sentirait presque libre, si sa grand-mère ne l’appelait pas toutes les semaines pour lui rappeler sa dépendance. car zhifeng malgré ses rêves, serait complètement perdu sans eux. sans les personnes qu’il appelle ses parents, sans l’appui de son oncle pour rester étudier ici et sans xiao lu pour vivre avec lui. pourtant, face au chaton et lorsqu’on leur autorise l’adoption, il se sent grand. comme la première marche d’une très grande échelle. il est clairement excité aujourd’hui, la hâte de rentrer et de gâter la miss, en faire leur joyaux et quand son ami répond à ses attaques taquines, il réalise qu’ils n’auront aucune fermeté. « mais ? et si elle veut dormir sur nos lits, on fait quoi ? » il dirige son regard vers l’employé qui termine les dernières vérifications. C’est long et Feng tape nerveusement du pied en attendant, ses pensées complètement vides lorsqu’il faut lui trouver un nom alors il préfère laisser la créativité de lu parler. le résultat est mignon. « oh c’est parfait, même si j’vais l’appeler milky all the time. probably. » il rit et c’est enfin le moment d’aller chercher leur dû, arrêtés devant la vitrine pour recevoir quelques informations. Race croisée apparemment affectueuse, joueuse et délicate. C’est du sérieux et Feng réfléchit déjà à sa bonne alimentation, les brossages et les câlins, ne désirant qu’offrir une belle vie à cette chatte. « je peux ?? s’il te plait !! » le vendeur leur donne une caisse prête pour le transport et s’approche ensuite du caisson pour libérer la boule de poils, un sourire tendre aux lèvres tandis qu’il intime aux garçons d’approcher – et c’est Feng qui tend les bras vers le chaton, l’attrape doucement et le garde autant de secondes qu’on le lui permet. La petite est plus curieuse qu’agitée, sûrement intimidée et il vient se coller à xiao lu pour lui permettre d’en profiter aussi. « Elle est toute douce, woah… vraiment trop belle, je l’aime déjà. » Il lui caresse la tête puis le cou pour la mettre en confiance, mais elle est si légère qu’il flippe momentanément de faire une connerie. Il n’est pas habitué à cette sensation de fragilité placée entre ses mains, plutôt brute et maladroit avec les objets, il craint de serrer trop fort ou de ne pas la tenir correctement. « Prends-la. » Il passe le relais à son meilleur ami avec précaution, puis sautille joyeusement jusqu’au rayon des paniers. Ils auraient peut-être dû s’y prendre avant pour ça, lorsqu’il sent les yeux du vendeur fixés sur eux avec sans doute, une légère appréhension.

huang xiao lu ≈ chen zhifeng

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Morceau de bonheur qui vaut bien plus que des papiers à remplir, de l’argent à donner. Morceau de bonheur qui justifie ce caprice et dieu que sa mère a pu être étonnée au téléphone. Son nom ne s’affichait jamais sur le portable de la mannequin. Enfant qui craint de déranger. Il n’appelle pas. Pourtant pour une bouille féline, il s’est armé de courage. S’est senti poussé des ailes. Vent divin qui l’a amené à appeler sa mère. Mots brouillés, flous, le message pourtant simpliste derrière. Maman je me sens seul. Maman tu me manques. Maman tu m’as montré comment être fier. Comment ne pas montrer mes sentiments. Et à défaut de lui demander de revenir. D’être dans sa vie, il lui demande un compagnon félin. Il lui propose de combler enfin sa solitude. Non pas que Zhifeng à ses côtés n’y contribue pas déjà. Mais rien ne remplace cet amour filial. Rien ne remplace ce cœur en manque d’affection. Et s’il peut juste, rendre le penthouse plus chaleureux, lui donner une âme d’un foyer plus que d’un refuge, alors oui ce chat est ce qu’il lui faut dans sa vie. Papiers en règles, c’est un poids en moins contre son cœur. Papiers en règles et c’est son rire qui résonne lorsqu’il parle de la demoiselle féline, semblant d’autorité qu’ils font semblant d’avoir et qui arrache un sourire au vendeur. Non choisi, Milk Tea, déjà surnommé Milky, hommage à la couleur crème de sa fourrure. Xiao Lu il s’incline. Sourire, laisse Feng prendre la beauté dans ses bras. Laisse son meilleur ami la tenir, ses doigts venant pourtant se perdre dans son pelage, rassuré de l’entendre ronronner tel un moteur d’avion. Soulagé de voir qu’elle ne semble pas craintive des deux idiots qu’ils sont. « Un amour. » Amour qui finit dans ses bras. Un chat ça change d’un chien lui avait expliqué sa mère. Ça dirige. Tu ne dois pas le brusquer ‘Lu. Et il s’y tient à ces mots. Garde la demoiselle contre lui en suivant Feng pour l’aider dans leurs achats. « Il lui faut quelque chose de royal. Limite avec une plaque et son nom tu vois ? J’vais m’occuper des jouets aussi. Des balles … Des plumeaux … Je veux qu’elle se sente bien. C’est grand la maison … Qu’elle sache qu’elle a des endroits pour elle tu vois ? » Affection tendre, il laisse le vendeur l’aider à la mettre dans la cage de transport. L’homme pardonnant leurs erreurs d’enfants excités, conscient qu’ils veulent bien faire. Et sans surprise il voit grand Xiao Lu, un arbre à chat plus grand que lui dans sa vision. « Ça, il nous faut ça ‘Feng !! »

huang xiao lu ≈ chen zhifeng

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Zhifeng a toujours été insouciant. Il ne réfléchit pas tellement aux responsabilités qui suivent ses choix, que ce soit pour son avenir ou pour adopter un chat. Ça semble anodin et facile de s’occuper d’un animal de compagnie, mais il sera surpris par le temps et l’impliquation que ça demande – surtout lorsqu’ils sont jeunes comme ça. Milk Tea est mignonne, elle ne bouge pas trop, ne miaule pas non plus et semble confortable avec eux. C’est peut-être parce qu’elle est toujours dans cet endroit familier pour elle. Zhifeng voit en elle une compagne de jeu, mais aussi une boule de poils à câliner pour se tenir chaud ou se sentir mieux. Il la laisse néanmoins aux bons soins de Xiao Lu pour continuer leurs achats. Ils auraient pu s’en occuper avant, mais on ne leur dira rien. Après tout, ils n’étaient pas sûrs non plus de pouvoir la prendre, si les parents de son meilleur ami avaient refusé. « Un lit de princesse, on est d’accord ! » Ce n’est pas une boutique bon marché, mais il doute tout de même qu’ils trouvent un panier incrusté de diamants, bien que ça en aurait jeté ! Il acquiesce à chaque nouvelle suggestion de son ami et ils ne réalisent sûrement pas, qu’ils s’expriment presque comme deux parents préparant la venue de leur premier enfant. Ils attendent que leur princesse soit en sécurité avant de se pencher sur leur liste, mais xiao lu attire son attention vers un immense arbre à chat. il y a de quoi se poser, dormir et même jouer en plus de la fonction principale de cet objet. Tout en un, mais ça ne les empêchera pas de remplir leurs sacs quand même. « Oh god! Carrément ! On va manquer de bras though. On fait du repérage aujourd’hui ? » C’est finalement, la première décision responsable qu’il prend de la journée et ce, en toute conscience. « On devrait lui trouver un panier d’abord et … oh, la nourriture ! J’allais oublier. » Il voudrait quand même pouvoir mettre une étiquette de réservation sur chacun de leurs coups de coeur. Il amène donc xiaolu jusqu’au rayon alimentaire et se sert en pâtée de qualité, en croquettes et en gourmandises aussi, pourquoi s’en priver. Ce n’est qu’après et enfin, qu’ils visitent le coin confort où Zhifeng désigne des paniers aux couleurs roses, crèmes ou blancs. Tous un peu prestigieux, assez grands pour la cacher et toujours lui convenir lorsqu’elle grandira.  

huang xiao lu ≈ chen zhifeng

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Les deux enfants qui s’extasient sur tout, sur rien. Pas forcément les mieux organisés. Les mieux préparés. Mais ils ont agis sur un coup de cœur. Ils ont jute vu le chaton, et d’un regard ils savaient. C’était elle qu’ils voulaient, qu’ils désiraient pour choyer et aimer. Ils sont un peu débordés. Ne savent pas où regarder. Mais leur innocence, leur joie font sourire, et on leur pardonne facilement leur excès. Le vendeur allant même jusqu’à proposer de faire livrer ce qu’ils ne peuvent prendre tandis qu’ils font le tour de la boutique. L’arbre à chat est une évidence. Ils en ont besoin pour la belle. Un peu grand, mais qui sait, l’aventure tentera Milk Tea. La nourriture est choisie avec soin sous les conseils du professionnel qu’ils écoutent religieusement. Paniers qui se remplissent de divers mets félins, et voilà qu’au final reste le problème majeur : le lit de la princesse. « Blanc peut-être ? Celui-là ressemble à un trône. C’est trop mignon. » L’échange en mandarin toujours, cette capacité à pouvoir changer de langue selon la personne en face. Même si clairement Zhifeng est meilleur que lui en coréen. Pas difficile lorsqu’on voit le peu d’enthousiasme que Xiao Lu met dans l’apprentissage de cette langue. Il faudra bien qu’il s’y mette un jour pourtant. Sa vie c’est en Corée maintenant. Et pourtant l’insouciance gagne et il se dit qu’il a le temps. Ils continuent leur tour, arrivant jusqu’au jouet, et encore une fois l’argent dépensé n’est pas un problème. Ça ne l’a jamais été pour Xiao Lu. Pas forcément la notion d’argent, il ne voit pas le souci de dépenser des milles et de cents pour les personnes qu’il chérit. Son chat fait parti de ce groupe. Dépenser pour avoir le meilleur, ce n’est pas dérangeant, presque normal au final. Il faut la choyer. Il faut qu’elle se sente bien. Il adopte la petite après tout. Il veut qu’elle se sente à l’aise dans ce grand appartement qu’il partage avec Zhifeng. C’est tout. Et son sourire tandis qu’il passe ses doigts dans sa fourrure, une évidence comme quoi elle sera traitée en reine. « Tu vas voir, tu vas adorer ton nouveau chez toi. » Murmure contre la tête du chaton, il ne peut que rire en la sentant se frotter à lui dans un ronronnement bruyant. Tout bonnement adorable. Comment ne pas craquer.