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| (m) libre ★ huang renjun (nct) Mar 25 Sep - 2:01 carte d'identité nom, prénom, surnom alors c'est grandement au choix, pour le nom de famille: entre fa et lin, tandis qu'en prénom on a relevé ylan, yolan, soren, sacha, ari, saram et yoen. mixé, des couleurs dans l’appellation qui rappelle l' exotisme de son existence mais qui reste à l'abris de l'européanisation date de naissance, âge dix-neuf années panoramiques vécues telles les bobines du cinéphile: jamais le même cadre ni la même ambiance. c'est le bélier qui l'abrite, ironiquement né un premier avril telle une belle farce faite à ses parents qui l'ont eu de manière assez chaotique. lieu de naissance, origines la diversité découle de son sang, fils tant d'ici que d'ailleurs. y a taiwan dans ses veines, de la branche familiale d'au dessus, et puis y a bangkok aussi, pour le lit d’hôpital miteux qui a servi à le voir naître. statut civil, orientation au choix, lgbt mais à vous de choisir la précision métier, études, occupation relativement libre, j'avais personnellement pensé à des études assez renommées, comme le droit, la politique, l'économie etc mais ce n'est qu'une idée. statut monétaire, classe sociale le compte en banque est bourré depuis la seconde même qu'il est né, non pas par bienveillance, mais plus par arrogance, par prestige. on se fait naturellement plus remarqué lorsqu'un nourrisson même gagne plus qu'un homme dans toute une vie. ils sont comme ça, dans la famille, il faut que ça pavane, que ça fasse les beaux. tocs, manies, hobbies le petit pratique depuis tout petit l'équitation, encore une fois une manière de se faire voir et envier. néanmoins l'intérêt de ses parents l'importe guère puisqu'il apprécie beaucoup la pratique et possède depuis sa propre monture, et vous l'aurez deviné: la bête leur a facilement coûté un bras. le reste est libre. style, tatouages, piercings libre. phobie, secret, rêve cela peut paraître tordu, malfaisant même, mais il ne supporte tellement pas ses parents que son plus grand souhait c'est de les voir s'écrouler, tout perdre. si bien que c'est une des raisons pour laquelle il cherche autant à les dépasser, être meilleur qu'eux. peut être qu'au final l'arrogance, bien que sous des formes différentes, reste vraiment une affaire de famille. le reste est libre. renjun, profosez! 01 — l'amour, ça inspire souvent les beaux mots, la profondeur et sincérité des meilleurs aspects de l'homme. ça fait rêver, ça fait battre le cœur. l'amour, c'est aussi parfois un mythe, une image idyllique qu'on ne voit qu'à travers les pages et les minutes. il n'y a rien de romantique à leur histoire, leur union convenue plus par intérêt que pour tout autre chose. ça fait joli, ça donne un semblant de maturité, donne l'impression qu'on a sa vie en main. il est beau, elle est belle, ils ont de l'argent, ils sont fait pour être ensembles. y a pas d'attaches, c'est toujours des corps différents qui poussent et referment la porte d'entrée - au même rythme des bouteilles et des clopes qui s'empilent un peu partout dans les heures sombres de la nuit. et puis le petit est habitué. croise ces étrangers tel un fantôme, comme si c'était normal. 02 — problématiques, c'est ce qu'ils sont. les voyages, c'est beau. ils en ont fait une multitude. par contre, le fait qu'ils ne ciblent que les pays pauvres pour faire des économies, c'est directement moins beau. côte d'ivoire, cap-vert, yemen, sudafrica, peru, kenya, sri lanka, kosovo, nepal, laos, bangladesh, mongolie kazakhstan, arménie ou encore israël - des nomades constamment sur la route, à profiter de leurs privilèges. 03 — lire c'est son ptit truc à lui. ça comble les silences, les absences ; ça l'évite d'avoir à participer à des conversations qu'il préfère éviter, notamment avec ses parents. et puis ça remplace les amis - ces personnes dont il n'a jamais eu le temps d'apprendre à véritablement connaitre. 04 — finalement, c'est à seoul qu'ils ont trouvé refuge lorsque ylan était ado. le temps d'adaptation a été relativement compliqué - "la quinzaine et pourtant si paumé de tout" - une pression personnelle infligée en étudiant les autres, plutôt réservés, mais toujours moins que lui. c'était frustrant, mais enrichissant ; comme tout. 05 — son envol s'est fin matérialisé à sa majorité, une liberté aussi précieuse que tout l'or du monde. ce sont eux qui payent pour tout - "quitte à faucher quelqu'un, j'aime autant que ce soit eux, ce sont des merdes" - ça l'arrange plutôt bien. peut être qu'au final il est tout aussi pire qu'eux. parfois, il se pose la question. 06 — l'amour, ça le dépasse un peu. c'est bizarre, ça le met mal à l'aise. c'est pas normal pour un gars de son âge, il en a conscience, pourtant il ne se pose pas plus la question : il connait déjà la réponse. c'est probablement à cause d'eux. qui aurait une vision positive de tout ça après toutes ces années. pourtant, c'est pas faute d'avoir testé. 07 — on ne dirait peut être pas comme ça, mais les mots déferlent vite de ses lippes, parfois trop venimeuses. d'un franc parlé au ton intimidant, personne ne lui marche dessus gratuitement. sa face inspire peut être la douceur, mais "mon poing dans ta gueule" l'inspire moins. ps: oui l'option tient tout autant lorsqu'il est question de défendre ses amis. 08 — ylan aime chercher la merde, taquiner. c'est loin d'être méchant, simplement sa manière de s'exprimer, toujours de manière indirecte, dérivée. une maladresse avec les mots ironique pour un bourreau de lecture. mais l'expression et lui, ce sont deux droites perpendiculaires cherchant leur point de rencontre. | |
| na neiji | feat. lee jeno rédigez ici le lien entre le scénario et votre personnage, que ce soit bref ou détaillé, c'est libre à vous. |
park noah | feat. mark lee rédigez ici le lien entre le scénario et votre personnage, que ce soit bref ou détaillé, c'est libre à vous. | |
| huang xiaolu | feat. zhong chenle rencontre alors qu'ils n'étaient que des enfants, ylan venu étudier à shanghai, ylan hébergé chez les huang, leurs parents amis. et lu qui s'est attaché à lui comme une évidence, voyant dans le plus âgé, un grand frère, un idéal. sauf qu'ylan est reparti. et les larmes ont coulés, des promesses pour sceller ce lien qui les relie. correspondance échangée, jusqu'aux retrouvailles récentes, ylan là quand xiao lu s'est installé à séoul. là quand il a retrouvé sa solitude. là et protecteur. comme une louve avec son petit. surprotecteur, quelque peu possessif, juste le besoin de s'assurer qu'il n'arrive à rien à lu. |
pham minsoo | feat. na jaemin ( cf pv) y a eu ce baiser dérobé dans la nuit, sous les néons, alors que cette journée de fierté se terminait entre quelques verres et d'autres corps. rencontrer des amis, des futures amants - lors de la gay pride, ce fut le tournant, de beaucoup de choses. y a eu minsoo, et puis neiji aussi, ce garçon qu'il semblait connaitre rapidement. des inconnus auprès desquels ylan a abandonné le temps, empilant les bouteilles et les rires jusqu'au petit matin. minsoo lui par contre - n'est jamais parti. il est resté là, perché sur ses lèvres, dans son lit, présent à son réveil. et l'habitude est restée ; avec l'attraction, l'affection, les sentiments tissés au fil de fer. des amoureux, mais des meilleurs amis avant tout. ils se sont tout confiés, les expériences, les premières fois, les tendresses, inséparables, indestructibles. un lien qui a finalement gagné sur la romance, un titre partagé qu'ils jugeaient inutile, l'abandonnant d'un mutuel accord. et ça n'a rien changé à leur relation, rien ne le pourrait probablement. | |
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