tu auras un karma de merde.
Les ordures, on les mets dehors, on s’en débarrasse rapidement sans se retourner. Joon Bok était une ordure parmi tant d’autres. Il était un déchet, une erreur qui devait être effacer au plus vite par une femme. Et la meilleur solution, semblait de le mettre au milieu de d’autre poubelle ; sa place selon elle.
Cette ordure, ce vulgaire objet animé avait été récupérer par une amatrice de déchet. Elle en faisait la collection dans une bâtisse ou elle leurs donnés une identités, un peu d’humanité puis elle essayait de leur faire découvrir qu’ils pouvaient être aimer par d’autres adultes qui voulaient prendre soins des soi-disant déchets qu’ils étaient pour d’autres…
Joon Bok, avait eu deux chances. Deux chances de quittait ce statut d’ordure de la société. Deux chances qu’il loupa lamentablement. La première fois, il n’avait que trois ans, un jeune couple souhaite adopter un petit garçon et leur dévolue se jette sur Joon Bok au milieu de tout les bambins. Un premier essai est concluent, le petit garçon semble aimait ces adultes… L’adoption se conclut. La nouvelle petite famille était heureuse… Mais quelques jours après cet heureux événement, le père, qui était un peu trop portait sur la boisson frappa le bambin qui demandait de l’attention. Une chute qui entraîna une blessure. Une blessure qui suivit d’une petite visite à l’hôpital… et l’enfant fût retirait sur le champs. Mais… ce n’était pas la faute de son papa d’un temps, non, c’était sa sa faute car il n’avait pas été gentil… Voilà à quoi pensée le petit Joon Bok de trois ans.
Il était trop petit pour comprendre que ce monsieur aurait été néfaste pour lui et qu’il aurait été malheureux, mais lui il ne voyait pas ça de la même façon. Lui il avait cru le temps d’une dizaine de jours qu’il avait trouver une famille. Car chez eux, il avait sa propre chambre, ses propres jouets et de l’attention, tout ce qu’il n’avait pas à l’orphelinat. Les bonnes sœurs ont eut du mal à consoler ce petit bout de chou, du mal à lui faire comprendre qu’il était mieux ici, puis un jour, il a arrêtait de parler et il a reprit le cours de sa vie. «
Heureusement qu’il est petit… il se souviendra de rien, jamais il se souviendra de cet acte manqué.» murmurait la bonne sœur un sourire triste au visage.
Le second essaie était plus tard, Joon Bok avait un âge où même au moment de sa mort, il s’en souviendrait. C’est des faits qui marquent, des faits qui réouvrent des cicatrices qui peinent à se refermer. Il avait six ans, un couple d’une quarantaine d’année souhaitait avoir un enfant. Le seul souhait qu’ils avaient, c’était d’avoir un enfant plutôt timide et calme, le choix était rapidement restreint à quelques enfants de l’orphelinat tout âge confondu. Joon Bok était celui qui rentrait dans leur critère. Comme la première fois, le premier contact était concluant. Joon Bok avait fait bonne impression avec son petit texte apprit par cœur. Une semaine plus tard, il était dans sa nouvelle maison. Il était fou de joie, un sourire planait sur son visage sous le regard de ce couple amoureux. Chacun avaient maintenant la famille qu’ils rêvaient. Les jours adaptations avaient été un peu délicat, Joon Bok se sentait très proche de Min Ah, sa mère et moins de Tae Jin, mais cela viendrait avec le temps… Enfin, il le pensait.
Tae Jin était un homme qui vivait mal le fait de Joon Bok ne soit pas si proche de lui qu’il était de Min Ah malgré toute les attentions qu’il lui portait. Et il ne supportait plus de ne plus avoir sa Min Ah pour lui, sa femme ne le laissait plus la toucher, elle était toujours en boucle sur leur fils et cela lui pesait. Leur fils était là que depuis une quinzaine de jour et il le supportait plus. Plus il le voyait, plus il avait envie qu’il disparaisse… Mais sa femme était tellement heureuse elle, et puis parfois Joon Bok était affectueux envers lui… Mais un jour, voir Joon Bok prendre sa douche avec sa maman, fût la goutte d’eau en trop. Sans un mot, il avait quitté l’appartement. Il avait errait toute la nuit, pour finalement revenir sur les coups de onze heure le lendemain. Min Ah était à son travaille, Joon Bok à l’école, il était seul, encore une fois. Il soupira, puis il se dirigea dans la chambre de son fils, la saccagea dans un élan de colère. Il ne le supportait plus, il ne supportait plus sa vie, il ne supportait plus de voir sa femme lui échappait ainsi à cause d’un gosse. Il ne supportait plus de vivre tout simplement. Et sur un coup de tête sans réfléchir, il décida de mettre fin à ses jours. Il prit une corde, un bout de papier ou il coucha quelques mots expliquant son acte, les yeux baignaient dans les larmes. Et voilà. Quelques minutes plus tard, un corps se balançait lourdement dans la chambre de Joon Bok, le coupable de tout ses maux. Une vie prit fin en quelques minutes, des vies ont été détruite également…
Lorsque Joon Bok était rentré de l’école avec sa maman, il avait couru dans sa chambre comme chaque soir pour jouer. Mais aujourd’hui c’était différent, a peine il avait poussé sa porte qu’un hurlement s’échappa de ses lèvres. Min Ah sur ses talons découvrit à son tour l’horrifiant spectacle qui se jouait devant eux. Des pleures des supplications, du mouvement, beaucoup de mouvement, en quelques minutes les pompiers, le samu étaient présent… Mais il était déjà trop tard. Perdu, terrifié, Joon Bok avait prit refuge près de son bureau, recroqueviller sur lui, il aperçut une feuille volante au sol, il s’approcha à quatre patte, la prit et tenta de déchiffrait l’écriture tremblante.
Désolé Min Ah, mais je ne supporte plus que tu ne sois pas qu’à moi…
Je ne supporte plus notre fils, je ne supporte plus qu’il ait voler ma place.
Je t’aime. Adieu.
Nouveau torrent de larme pour Joon Bok, son papa était partie à cause de lui. Il était fautif. Min Ah en voyant sont fils si triste, le prit dans ses bras tout en lui prenant le bout de papier des mains. Le monde s’arrêta le temps d’une fraction de seconde. Min Ah lâcha Joon Bok avant de s’enfermait dans sa chambre.
Elle savait que son petit ami était jaloux, possessif, elle savait tout ça, tout comme le désir d’avoir un enfant était le siens surtout. Elle le savait... mais elle pensait que lui aussi il voulait en un enfant. Mais, elle savait aussi que son petit ami été malade, qu’il avait un trouble psychologique… Elle serra le bout de papier contre elle, et pleura à chaude larme en marmonnant des « désolé ». Joon Bok, qui était devant la porte, pleurait silencieusement. Tout était de sa faute.
Une semaine après le drame. Min Ah déposa Joon Bok à l’orphelinat. « Je ne peux plus m’en occuper… c’est trop dur » Fut la dernière phrase qu’il entendu de sa mère… Qui était partie sans se retourner.
Joon Bok était inconsolable. Il pleurait toute la journée, disait que tout était de sa faute une nouvelle fois. Et que personne pouvait l’aimer. Les bonnes sœurs ne savait plus quoi faire pour lui. Ce petit garçon venait de vivre quelque chose de terrible, et il venait d’être abandonnée comme un déchet une seconde fois. Il n’était pas rare de trouver le petit garçon dans un recoin de l’établissement en train de pleurait « Je suis un monstre… je n’aurais jamais du naître, personne ne peut m’aimer… les gens souffrent à cause de moi, puis je suis un méchant petit garçon car j’aimais pas assez papa… papa je suis désolé... » Démunie, les bonnes sœurs ne savaient plus quoi faire, elles avaient fini par abandonné de le consoler, de lui faire comprendre que rien n’était de sa faute, qu’il n’était qu’un enfant… Joon Bok était déjà brisé de toute façon. « J’espère qu’un jour il connaîtra l’amour ce petit, il le mérite… il a tellement souffert. » soupira la sœur Yoo Na, qui buvait son thé en observant le petit garçon.
Les années passa. Le temps pensa les blessures paraît-il. Joon Bok avait finit par grandir, finit par accepter qu’il resterait un déchet de la société, il avait accepté que tout le monde ne pouvait pas être adopter. Que tout le monde ne pouvait pas avoir de famille. Il avait donc grandit sans faire de vague. Il n’était pas un adolescent turbulent ou autres. D’ailleurs il c’était même trouver une copine. Elle était plus jeune, plutôt mignonne. Il était comme tout le monde. Il n’était pas le premier de la classe, mais pas le dernier. Médiocre était le terme qui lui convenait en tout plan.
Puis, à dix-huit ans, il changea du tout au tout. Après qu’il ait plus ou moins rompu avec Ah Ri il rencontra une jeune femme, une étudiante en art. Lorsqu’il l’avait vu, ce fût le coup de foudre. Elle était magnifique, gracieuse et son rire était envoûtant. Elle portait le doux prénom de Mi Rae, elle était la douceur incarné, un ange tombé du ciel pour Joon Bok. Devant elle, il perdait tout ses moyens et redevenait un petit garçon plutôt gauche. Il n’osait pas vraiment l’aborder, il l’a observé de loin pendant un petit moment, nourrissant un amour pour elle. Il affichait toujours un air distrait et joyeux sur son visage à l’orphelinat, les bonnes sœurs étaient d’ailleurs ravie de voir qu’il était si heureux.
Puis un jour, il osa lui proposer d’aller boire un verre. Et ce verre fût le début d’une longue série. Joon Bok venait la chercher à la sortie des cours, lui proposait des balades près de a rivière, des petites sorties cinémas ou bien une ballade dans la foire de Séoul. Il faisait absolument tout pour lui plaire, pour la comblait, la rendre heureuse. Et a chaque fois qu’un sourire naissait sur son visage, son cœur se gonflait de joie. Il avait l’impression de revivre, de vivre pour la première fois. Il se sentait capable de lui décrocher la lune si elle le lui demandait. Capable de tuer, de vandaliser, d’être son roi des voleurs, il lui suffisait de demander.
Mais au lieu de ça, elle lui avait demander subtilement de devenir son petit-ami, Joon Bok n’osait imaginer qu’elle aurait voulu de lui. Il n’avait rien à lui offrir, pas de famille, pas d’argent, pas de situation, il était juste lui. Et de savoir qu’elle ne vouait que lui, l‘avait touché. Le premier baiser fût magique, Joon Bok s’en souvient encore aujourd’hui. Cela avait été timide, au milieu d’un parc, il s’était penché vers elle, fermant les yeux. Sa main droite caressait délicatement sa joue alors que son autre main l’attirait lentement vers lui. Il avait déposé délicatement ses lèvres sur les siennes, quelques instant avant de coller son front au siens en murmurant un « Je t’aime... » Il était sûr de ses sentiments, il ne lui demandait pas qu’elle lui retourne ses quelques mots, il voulait juste qu’elle le sache. Qu’elle sache qu’il était mordu d’elle.
Le couple vivait une parfaite petit idylle. Mi Rae avait toujours des cadeaux, des petites attentions venant de Joon Bok. Puis au fil des mois, le coupe est devenu plus intime. Joon Bok à découvert le corps de sa petite amie et inversement, ils se sont aussi livrait, Mi Rae lui racontait les moments les plus douloureux de sa vie, Joon Bok fit de même, lui racontant ses adoptions, ses douleurs, ses peines mais aussi sa passion stupide pour les musées de robot ou encore des aquariums. Leur relations était remplit de tranche de rire, de petite dispute de couple, de tendresse et d’amour.
Joon Bok disait avoir trouver son âme sœur, sa soulmate, sa meilleure amie, sa confidente. En Mi Rae, il avait trouvé l’amour inconditionnelle dont il avait besoin. Il lui offrait absolument tout ce qu’il pouvait, il donnait tout dans cette relation. Au point sûrement d’en devenir étouffant parfois. A trop s’accrocher à elle comme une bouée de sauvetage, à avoir peur pour elle constamment. Joon Bok ne savait pas comment aimer, ni comment le démontrait, il donnait simplement à Mi Rae ce qu’il n’avait jamais put donner à d’autres personnes. Et l’amour qu’il recevait d’elle, représentait tout à ses yeux.
Et cet amour, se concrétisa, Mi Rae tomba enceinte, cela n’était pas prévu au programme. Joon Bok n’avait pas de travaille, il n’était même pas encore majeur à cet instant-là. Mi Rae était au étude. Garder cet enfant était impensable, mais le faire disparaître l’était tout autant. Ils avaient peur. Joon Bok avait retrouvé refuge auprès des bonnes sœurs qui lui épargna le sermon de faire l’amour avant le mariage, elles s’étaient contentait de lui sourire, de lui caressait la joue en lui disant que lui aussi il avait le droit au bonheur et que cet enfant semblait être un signe. Le signe que Mi Rae et lui étaient lié par Dieu. Joon Bok, ce soir-là, il avait pleuré de joie. Il les avait remercié, remercier d’avoir était si bienveillant avec lui depuis sa naissance remercier de lui avoir donné une chance d’existait, d’être qui il était aujourd’hui.
Joon Bok eut dix-neuf ans et son fils né quelques mois plus tard, un adorable petit garçon prénommée Chan Lee. Le couple avait emménager ensemble dans un petit studio. Joon Bok avait abandonné l’idée de faire des études, il c’était trouvait deux petits boulots, suffisant pour subvenir au besoin de sa famille. Sa famille, il aimait tellement dire ça, le clamait à qui voulait bien l’entendre, il avait l’impression que jamais il ne pourrait être plus heureux. Il avait enfin sa famille, la famille qu’il rêvait tant. Une femme qui l’aimait profondément, un fils qui l’aimait également et lui qui les aimait de façon inconditionnelle.
Puis tout se brisa en quelques secondes, Joon Bok s’occupait de son fils, alors que Mi Rae prétexta sortir pour acheter du lait pour le bébé. Joon Bok l’avait embrasser avant qu’elle parte, lui offrant un large sourire, un sourire qui aveuglait le regard triste et peiné de cette mère. Elle quitta le petit appartement en claquant la porte, explosa en sanglots dans les rues, pour ensuite jamais réapparaître devant Chan Lee ou Joon Bok. Elle avait fuit. Elle ne supportait plus d’être mère, d’être avec un homme qui l’étouffait avec son amour, d’être avec un homme qui la voyait comme une princesse, elle voulait un homme qui la traitait comme une femme, qu’il y ait des disputes, de la passion… avec lui elle ne retrouvait plus tout ça depuis bien longtemps. Alors elle mit donc fin à cette relation d’un an et demi sans la moindre explication.
Joon Bok commença à s’inquiétait au bout d’une heure, sa petite-amie n’était toujours pas rentrée. Il essaya sur son téléphone, messagerie. Il essaya les amies de sa demoiselle, rien. Personne ne décrocha. Au bout de deux heures, il essaya la famille de sa bien aimé, le père répondit, un silence se créa « Petit, oublie Mi Rae, ne la cherche pas. Laisse la vivre. S’il te plait. » Il raccrocha aussitôt. Ce vieille homme avait du mal à accepter le choix de sa fille, car il ne verrait jamais grandir son Chan Lee et lui il appréciait Joon Bok, il trouve que c’est un homme droit. Mais sa fille avait fait un choix, il le respectait.
De l’autre côté du fil, Joon Bok resta interdit, il ne comprit pas. Son fils dormait à côté de lui, paisiblement. Il se retourna vers lui caressa délicatement ses joues, avant de prendre son téléphone. Il envoya une dizaine de message à sa petite-amie, ne comprenant pas. Mais finalement, au bout d’une heure, sa seule réponse qu’il eut fût un simple « Je te quitte. Arrête de m’envoyer des messages. » Puis un second, plus bref. « Occupe toi de ton fils. » Son téléphone glissa de ses mains, les larmes coulèrent toute seul alors qu’il se laissait tomber au sol, regardant son fils. Ce petit ange n’avait que six mois… et il venait de se faire abandonné par sa mère, tout comme lui.
Il pleura toute la nuit. Son fils venait de se faire abandonné et lui également, encore une fois. Il ne comprenait pas. Il ne comprendrait donc jamais, pourquoi les gens qu’ils aimaient terminer par le fuir, est-il impossible qu’on l’aime... Il resta chez lui plusieurs jours, s’occupant de son fils, le dorlotant, pleurant à chaude larme alors qu’il était dans ses bras. Chan Lee ne comprenait pas, il s’amusait bien souvent à toucher les larmes de son papa en souriant. Cela réchauffer le cœur de son père d’ailleurs. Un coeur qui battait toujours, grâce à ce petit être.
Joon Bok disparut quelques temps de la circulation. Il ne savait plus quoi faire, ni comment. Alors, il était retourné à l’orphelinat, les bonnes sœurs l’avaient accepter pour qu’il puisse retomber sur ses pieds. Là-bas il s’occupait de son fils et des autres bambins. Puis au bout d’un mois, il retourna chez lui. Il devait devenir un père exemplaire. Un père qui serait à la fois la mère de son Chan Lee. Tout faire pour que son fils ne manque jamais de rien, pour qu’il ne ressente jamais la douleur que lui il a put ressentir plus petit.
Incapable de quittait l’appartement qu’il a partagé pendant plusieurs mois avec Mi Rae, il décida de ne pas déménager. Il trouva un emplois dans une garderie. Il y travailla les trois premières années de vie de son fils, comme ça il ne le quittait jamais. Ensemble, ils trouvèrent assez vite leur équilibre. Joon Bok était le père papa poule, qui disait oui à presque tout, qui prenait soins de son fils comme-ci c’était la prunelle de ses yeux. Avec lui Chan Lee était choyé, aimé, il ne pouvait peut-être pas remplacer sa mère, mais il n’était pas non plus prêt à lui en parler. Car même si elle était partie, il était toujours profondément amoureux d’elle, elle avait beau l’avoir détruit, prit son coeur, l’avoir jeter contre les murs avant de sauter dessus et de lui donner un coup de pied, il l’aimait. Il n’arrivait pas à passer à autre chose, après tout, elle était la première personne à l’avoir aimer...
Quatre ans passa, Chan Lee était maintenant à la maternelle, Joon Bok abandonna son poste à la garderie contre celui de vendeur dans un magasin de jouet… On ne se demande pas pourquoi d’ailleurs. Et quelques week-end dans le mois, il travaillait de nuit en tant que serveur, son fils étant garder par la grand-mère du patron sur le lieu de travail. Joon Bok lui en ait d’ailleurs très reconnaissante. Ensemble ils étaient heureux, Joon Bok était redevenu avec les années un jeune homme souriant, bien que sa vie tourne exclusivement autour de celle de son fils, au moins il ne broyait plus du noir.
Cela était une sorte d’happy ending au fond. Joon Bok savait que lui et son fils s’aimeraient toujours, que jamais il l’abandonnerait, que jamais il le ferait souffrir et inversement. Parfois, Joon Bok se culpabilisait de voir que Mi Rae était partie de sa faute, encore une fois. Mais, rapidement cette pensée était effacé par son fils qui lui sautait dessus en riant. Certain diront que Joon Bok se néglige et néglige sa vie d’homme, les bonnes sœurs sont d’ailleurs les premières à lui reprocher. Qu’il devrait trouver une femme qui aimerait Chan Lee comme son propre enfant. Mais Joon Bok refuse, il a peur. Trop peur d’être encore abandonné. Trop peur que son fils souffre si quelqu’un venait à partir de nouveau. Il a peur d’aimer de nouveau… puis il est bien comme ça non ?